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Le signe de son ras-le-bol : « Je travaille en zone d’éducation prioritaire (ZEP) et le nombre d’élèves par classe dépasse désormais la trentaine. C’est difficile de les faire participer à l’oral et d’épauler ceux qui ont le plus de difficultés », déplore-t-elle
Extrait de 20minutes.fr du 28.09.11 : Paris. Le corps enseignant se dénude pour défiler
Et les premières difficultés se font déjà ressentir au quotidien. Institutrice à Vénissieux, dans un quartier difficile, Lucie a hérité (...)