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Ouverture sociale : - Où en sont les écoles de commerce  ? - Brio, le dispositif d’égalité des chances nantais - Des Hautes-Alpes aux grandes écoles

14 décembre 2021

Ouverture sociale : où en sont les écoles de commerce  ?

Plusieurs écoles de commerce prennent à bras le corps les questions d’ouverture sociale. Si plusieurs années sont nécessaires pour observer des résultats, les années scolaires 2021 et 2022 marquent l’arrivée de nouveaux dispositifs.

Avec 12% d’étudiants boursiers, les écoles de commerce figurent en dernière position des établissements post-bac sur le plan de l’ouverture sociale. Un problème de mixité sociale, dû en grande partie au coût des études, qui s’élève en moyenne à 11.635 euros par année. Si toutes les écoles ne sont pas engagées au même niveau, certaines tentent de mettre en place des dispositifs inédits.
Des frais de scolarité pondérés

C’était une nouveauté pour la rentrée 2021, l’Essca et Toulouse Business School ont mis en place une modulation des frais de scolarité en fonction des revenus de la famille. Si plusieurs écoles disposent de modulation en fonction de critères Crous, comme Neoma, HEC, l’IMT BS, l’ESCP ou l’ESC Clermont Business School, entre autres, l’Essca et Toulouse Business School vont plus loin.

"On ne souhaitait pas se consacrer uniquement aux boursiers, mais aussi aux classes moyennes. On a une dizaine de tranches qui permettent de moduler les frais de scolarité", explique Jean Charroin, directeur général de l’Essca. En 2021, dans la tranche la plus basse, un étudiant inscrit dans un programme de management peut payer 3.000 euros l’année contre 12.000 auparavant. Pour la rentrée 2022, l’Essca indique que la tranche la plus modeste aura des frais de scolarité entièrement gratuits.

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Avec 12% d’étudiants boursiers, les écoles de commerce figurent en dernière position des établissements post-bac sur le plan de l’ouverture sociale. Un problème de mixité sociale, dû en grande partie au coût des études, qui s’élève en moyenne à 11.635 euros par année. Si toutes les écoles ne sont pas engagées au même niveau, certaines tentent de mettre en place des dispositifs inédits.
Des frais de scolarité pondérés

C’était une nouveauté pour la rentrée 2021, l’Essca et Toulouse Business School ont mis en place une modulation des frais de scolarité en fonction des revenus de la famille. Si plusieurs écoles disposent de modulation en fonction de critères Crous, comme Neoma, HEC, l’IMT BS, l’ESCP ou l’ESC Clermont Business School, entre autres, l’Essca et Toulouse Business School vont plus loin.

"On ne souhaitait pas se consacrer uniquement aux boursiers, mais aussi aux classes moyennes. On a une dizaine de tranches qui permettent de moduler les frais de scolarité", explique Jean Charroin, directeur général de l’Essca. En 2021, dans la tranche la plus basse, un étudiant inscrit dans un programme de management peut payer 3.000 euros l’année contre 12.000 auparavant. Pour la rentrée 2022, l’Essca indique que la tranche la plus modeste aura des frais de scolarité entièrement gratuits.

Extrait de letudiant.fr du 29.11.21

 

Les écoles de commerce en quête de diversité sociale
Plusieurs écoles mettent en place des dispositifs innovants pour ne pas limiter leur recrutement aux étudiants issus de milieux favorisés.

Extrait de lexpress.fr du 17.12.21

 

Quels résultats pour BRIO, le dispositif d’égalité des chances nantais ?

Audencia, Centrale Nantes, IMT Atlantique et Oniris partagent les résultats de l’étude d’impact de leur programme d’ouverture sociale, BRIO. L’enquête montre que le dispositif lancé en 2006 remplit son objectif d’accompagner les lycéens issus de quartiers populaires et/ou de familles modestes vers l’enseignement supérieur, avec en prime une meilleure insertion professionnelle. 77% obtiennent un diplôme final de niveau bac+3, et 56% de niveau bac+5. 96% ont trouvé un emploi en moins de 6 mois. Des chiffres bien au-delà des moyennes nationales.

Extrait de grandes-écoles.studyrama.com du 08.12.21

 

Une association d’étudiants pour les futurs étudiants

L’association “Des Hautes-Alpes aux grandes écoles” a été fondée en septembre par cinq étudiants haut-alpins diplômés.

« Toute personne ressource ayant envie de s’impliquer et d’apporter sa pierre à l’édifice dans l’association pour accompagner la jeunesse est la bienvenue. Tout le monde peut adhérer à “Des Hautes-Alpes aux grandes écoles” », lancent les cinq étudiants. Photo Le DL

« L’idée est de donner plus d’égalité des chances sur le territoire en informant et fédérant étudiants et diplômés mais aussi de contribuer au développement du territoire, démarrent les cinq étudiants de l’association fraîchement créée “Des Hautes- Alpes aux grandes écoles”.

Extrait de ledauphine.com du 13.12.21

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