En réponse à :
(...) De fait, l’évolution des concours ne suffira pas, prévient Jean-Yves Mérindol. "Le concours, c’est la cerise sur le gâteau, dit-il. C’est tout le système qu’il faut regarder et mettre en place un ensemble de mesures. L’élément le plus profond, c’est la concentration sociale : les grandes écoles les plus prestigieuses recrutent leurs étudiants dans un nombre limité de prépas d’élite, concentrant le plus souvent une population parisienne où l’on trouve peu de boursiers. Pour eux, le (...)