En réponse à :
[...] Notre précédent ministre avait pourtant de grandes ambitions pour l’éducation prioritaire. Celles-ci rejoignaient en grande partie les préconisations des enseignants de ces établissements.
[...] Cette divergence était cependant éclairante et prémonitoire. Peu de gens contestent l’intérêt qu’il y aurait à baisser le nombre d’élèves par classe, surtout en éducation prioritaire. Par contre, pour le ministère, l’évoquer engagerait à faire quelque chose. Or le coût induit aurait dépassé (...)