En réponse à :
J’ai souvent entendu des professeurs qui avaient enseigné en ZEP s’exclamer, en arrivant dans un établissement plus tranquille, " ce n’est pas le même métier", "je fais enfin mon boulot".
A contrario, j’ai longtemps pensé, quand j’étais en ZEP ( de 1997 à 2008), que j’avais le "privilège", dans un établissement difficile, d’être en contact avec une forme de vérité de l’enseignement. A chaque mutation, à chaque fois dans un collège plus favorisé que le précédent, j’ai peur de m’ennuyer, (...)