En réponse à :
Jacques Bernardin, président du GFEN [...] « Il faut interroger l’habitus professionnel et cela passe par trois points : d’abord, repenser la transmission du savoir, comme savoir vivant et savoureux, redonner sens à apprendre, redécouvrir le savoir comme conquête humaine et conquête de soi. C’est le point aveugle de la réflexion actuelle. Le deuxième point, interroger les modalités de l’apprentissage, le rapport entre l’individu et les autres dans l’acte d’apprendre et au service du (...)