En réponse à :
(...) « Il y a aussi beaucoup de souffrance chez certains élèves qui sont en situation d’échecs scolaires qui perdurent, qui n’ont aucune perspective dans la poursuite de leurs études.
Leur agressivité naît d’un système mal adapté à leur situation, trop élitiste. Leur violence traduit une misère sociale ».
La solution pour André : « C’est plus facile de désamorcer la violence dans des établissements plus petits, bien tenus par des équipes pédagogique administrative, et qui respectent (...)