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Alors que le soleil et les cagoles font un retour remarqué dans les rues de Marseille, j’achève ma première année en tant que professeur des écoles dans les quartiers nord, dans une de ces zones de sécurité prioritaires. J’avais demandé à être affecté « là où ça craignait », et je dois dire que j’ai été servi. J’enseigne dans un quartier où le taux de chômage atteint les 88 % et où il règne une loi de la Kalach. Après près d’un an de bons et loyaux services, je peux dire que cette (...)