En réponse à :
Extrait du « Monde » du 03.07.05 : le premier ministre se prononce contre la discrimination positive
Il prend ostensiblement son temps. Le temps de saluer, puis d’interroger chacun de ses interlocuteurs, avant d’écouter posément leurs réponses ; les encourageant d’un sourire, sans jamais les interrompre. Ni, a fortiori, porter le moindre jugement.
En se comportant ainsi, Dominique de Villepin ne saurait mieux rappeler l’impétuosité de son rival : l’effet de contraste est autrement plus (...)