En réponse à :
[Emmanuel Heyraud] ajoute que le problème de la politique de la ville est qu’elle est « parcellaire ». « Il y a beaucoup d’argent dans la politique de la ville, mais il n’est pas très bien utilisé. Par exemple, les dispositifs de réussite éducative de 2005 sont des programmes qui s’ajoutent à 1000 autres qui existaient auparavant comme le contrat éducatif local. Il y a une galaxie des dispositifs qui ne s’annulent jamais. On assiste donc à une déperdition des crédits ». Pour Hervé Marchal, (...)