En réponse à :
Il y a eu en revanche un travail (en liaison notamment avec les services des collectivités) dans les zones prioritaires pour inciter à davantage scolariser les tout petits. Mais c’est encore trop peu : la preuve, nous avons moins d’élèves que nous ne pourrions en accueillir… »
[...] Concernant les dérogations, dans le second degré, Evelyne Greusard souligne par ailleurs que le taux de satisfaction des demandes (82 % en collèges, 70 % en lycées) est plus élevé dans le département que sur (...)