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Extrait de « Ouest France » du 14.11.05 : Intégration, l’état d’urgence
Les feux de voitures déclinent. Les cocktails Molotov s’épuisent et Paris ne brûle pas. Les tensions dans les banlieues connaissent, pour le moins, un répit. Retour à l’ordre public. C’est le bilan espéré de cette dix-huitième nuit de violences urbaines.
Ces deux longues semaines ont ébranlé le pays et le gouvernement. Elles ont suscité angoisse, ressentiment et incompréhension. Elles ont, à la fois, sidéré (...)