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Dans certaines écoles, il est difficile d’enseigner certains sujets. Quelques jours après les attentats, deux enseignants ont eu la même surprise : chez certains élèves, le discours avait changé.
"Les mêmes élèves, avec qui on avait pu échanger, sont venus vers moi en me disant qu’ils n’étaient pas d’accord. Ils ont parlé de la théorie du complot, que tout cela n’avait été qu’un montage. Le dialogue s’est rompu", témoigne Seta Kilndjian, professeur d’histoire géographie au collège [REP+] (...)