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Le 24 novembre 2011 à Paris, colloque du CAS et du secrétariat général du CIV : "Des "effets de quartier" à la politique dela Ville" [traite aussi des effets sur la scolarité] (COMPTE RENDU)

10 octobre 2011

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En quoi le fait d’habiter dans un quartier
défavorisé, ou au contraire favorisé,
affecte-t-il les comportements et les
trajectoires individuels ? Ces effets,
dits “de quartier”, sont-ils liés à la
concentration de personnes partageant
des caractéristiques communes ?
A leur lieu de résidence (isolement spatial,
stigmatisation etc.) ? Aux évolutions
sociales et structurelles extérieures
au quartier ?

Aux États-Unis et dans la plupart des pays
d’Europe occidentale, les principaux
“effets de quartier” retenus par les
politiques sont ceux liés à la concentration
de la pauvreté. Leur existence présumée
engendre des politiques publiques ciblant
des territoires défavorisés - ceux de la
“géographie prioritaire” en France - qui
visent à promouvoir la mixité sociale par
des politiques de déségrégation urbaine.
Au-delà de ce consensus politique sur
a nécessité de réduire les zones de
concentration de populations pauvres,
la pertinence de ces stratégies fait
l’objet de vives controverses dans
la communauté scientifique, notamment
aux États-Unis, au Royaume-Uni,
aux Pays-Bas et en France, où les travaux
sur les “effets de quartier” sont en plein
développement.

Au moment du lancement du programme
national de rénovation urbaine 2,
quelles leçons tirer de ces recherches ?
Quels leviers d’action pour promouvoir
la mobilité sociale ? Quels nouveaux
compromis entre soutien aux territoires
et soutien aux personnes ?

Secrétariat Général du Comité Interministériel des Villes
Ministère de la Ville et du Grand Paris
Tel +33 1.49.17.46.04 / Fax + 33 1.49.17.45.59/ Mobile +33 6.08.23.85.07
mail : adil.jazouli@ville.gouv.fr

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