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En Seine-Saint-Denis notamment, les communes apprennent les unes après les autres qu’elles devront mettre la main à la poche si elles veulent garder le même volume d’heures d’accompagnement éducatif. A Clichy-sous-Bois, des élèves pourraient même s’en retrouver privés en cours d’année. Depuis deux ans, les douze écoles élémentaires de la ville proposaient cet accompagnement, de 16 h 30 à 18 h 30. Mais, à la rentrée, la mairie a appris qu’à partir de janvier l’Etat ne financerait plus que jusqu’à 18 heures et qu’en outre il se retirait des deux écoles non classées en Education prioritaire.
Extrait de liberation.fr du 29.10.10 : Le soutien scolaire victime de son succès