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Chroniques de profs de ZEP confinés (Le Nouvel Observateur, Mediapart)

21 avril 2020

[Moi, prof confiné (1) : « Certains parents se disent : “Ce sont un peu les vacances qui commencent’’ »

Anthony, enseignant marseillais en REP, constate que ses élèves les moins favorisés sont aussi ceux avec lesquels il a le plus de mal à assurer un suivi pédagogique.
Publié le 30 mars 2020 à 13h12 Mis à jour le 13 avril 2020 à 13h43

 

Moi, prof confinée (4) : « Le 11 mai, je ne suis pas sûre de vouloir participer à tout ça »
Mère d’un bébé atteint du Covid-19, Marion, enseignante de maternelle en Seine-Saint-Denis, n’est pas sûre de retourner en classe le 11 mai.
Publié le 19 avril 2020 à 09h29 Mis à jour le 19 avril 2020 à 10h27

 

Lire aussi

Moi, prof confiné (3) : « Le Covid-19 ne doit pas être le cheval de Troie d’une école numérique désincarnée »
Pour Julien Cueille, professeur de philosophie en lycée, les solutions numériques développées pendant le confinement devraient être davantage questionnées. Pérenniser leur utilisation pourrait creuser encore plus les inégalités.
Publié le 13 avril 2020 à 15h00 Mis à jour le 14 avril 2020 à 09h23-

 

Moi, prof confinée (2) : « Ne nous dédouanons pas de notre immense tâche sous de mauvais prétextes »
Pour Mathilde Poupée, enseignante en collège, la continuité pédagogique promue par le ministère n’est pas tenable. Mais ce constat largement partagé par les enseignants ne doit pas justifier des attitudes de retrait ou de lâcher-prise.
Publié le 13 avril 2020 à 14h00

 

 

Chroniques d’une année scolaire particulière
LE BLOG DE PIERRE CAMINADE

A bien des égards, cette année scolaire est particulière, éprouvante. Symbole du malaise profond qui touche l’ensemble de ses personnels et usagers des services publics. Comme dans mon collège, où élèves, parents et enseignants subissent depuis trop longtemps des conditions de vie et de travail indignes de notre pays. La crise sanitaire doit permettre un changement de paradigme rapide et efficace.

Je suis enseignant depuis le mois de septembre 2012. Ce métier n’était pas une vocation. Je n’y pensais pas en me rasant le matin, et encore moins en mettant dans mon cartable le goûter préparé par ma maman avant de rejoindre le collège. Il s’est imposé comme une évidence au fur et à mesure de mes études. J’ai d’abord été TZR, Titulaire en Zone de Remplacement, pendant 4 ans, puis j’ai atterri dans les quartiers nord de Marseille en septembre 2016, dans un collège où je suis toujours aujourd’hui.

Extrait de mediapart.fr du 17 ;04.20

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