En réponse à :
Extrait de L’Expresso du 24.09.08 :
[...]
Pourtant cette question mérite d’autant plus d’être posée qu’elle permet d’atteindre des solutions. Pour ces catégories [défavorisées] de la population, on sait que c’est au début de la scolarité que l’écart se creuse.
Alors osons le dire : un gouvernement qui réduit la scolarisation à deux ans ne lutte pas contre l’échec scolaire. Il est impératif de la proposer au moins dans les zones prioritaires.
On sait aussi, grâce aux travaux de (…)