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Une équipe de recherche québécoise a mené "une recherche action reposant sur l’hypothèse que l’écriture de l’histoire familiale de migration représente un contexte significatif qui peut aider le jeune élève immigrant allophone à développer des apprentissages en écriture et en français". L’expérimentation a concerné quelque 150 élèves dans 7 classes, avec des "ateliers d’écriture du livre d’histoire familiale" à raison de 15 séances sur 3 ou 4 mois.
Tous les objectifs que s’étaient donnés (…)