En réponse à :
Notre association APEAS, qui regroupe une cinquantaine de membres actifs, des parents d’enfants accidentés par strangulation, des associations, des médecins, des membres de l’Education nationale, s’intéresse aussi [en dehors du jeu du foulard, ndlr] au "petit pont massacreur". De quoi parle-t-on ? Des jeunes qui regardent à la télévision du catch et qui veulent reproduire la même chose le lendemain à l’école. Cela, c’est surtout des écoliers du primaire. Mais aussi dans les collèges. Et ceux (…)