Assez bizarre le contraste avec le rapport confidentiel de l’inspection générale de l’éducation nationale (pour le peu qu’on nous en a révélé) et cet article de ToutEduc. Ces deux médiateurs ont sans doute eu la chance d’être intégrés dans l’établissement et faire du travail en équipe ce qui entendrait que ce dispositif bien suivi aurait pu être valable. Il serait intéressant d’avoir l’avis de médiateurs qui ont travaillé ces deux dernières années. Pour ma part j’ai été très déçu du travail que j’ai à effectuer qui ne correspond nullement au terme de mon contrat. Il y a une cellule de veille dans l’établissement je n’ai pas le droit d’y participer cela étant réservé aux fonctionnaires de l’éducation nationale. (CPE, Infirmière Scolaire et Assistante Sociale) et rien de ces réunions ne filtrent au service absences où je travaille à la saisie. Je n’ai jamais de contact avec les parents autres que ceux de prendre un appel qui prévient de l’absence d’un élève malade. Aprés tout reste du ressort de l’équipe éducative qui garde précieusement voire jalousement les informations.Ces problèmes de non intégation avaient déjà évoqués au cours d’une réunion de formation quelque peu explosive par des médiateurs déjà en place et qui rencontraient des problèmes pour s’intégrer dans les établissements. On nous avaient promis une prochaine réunion pour voir l’évolution de la situation 6 mois après mais bien entendu ça ne s’est jamais fait. là après 2 années de service nous allons partir sur la pointe des pieds comme nous sommes venus et ...
et les CPE deviennent quoi là dedans ??????? dépourvus de leurs missions au profit de ces préfets... une totale ignorance de nos fonctions et un profond mépris ! Messieurs les penseurs en haut lieu, sachez que des personnes remplissent déjà ces missions, avec peu de moyens et dépassant largement le cadre horaire normal... ils se nomment des conseillers principaux d’éducation !! il suffirait peut-être de créer des postes au concours et sur le terrain ! Mais comme toujours, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !
Le site de l’OZP génial ?
ça, c’est vrai ça !
Signé Mère Denis
Savez-vous que la section tennis du collège a été considérée comme "dynamique", dispensant "un enseignement rigoureux et porteur de satisfactions" , et contribuant activement "à la politique d’excellence et au décloisonnement social du projet d’établissement " par le chef d’établissement. J’ajoute que dans une période ou chacun est invité à réfléchir sur les rythmes scolaires et les moyens d’enrayer l’échec scolaire dans les zones d’éducation prioritaires, le développement du sport constitue plus qu’une priorité , c’est une école de la vie...une discipline qui à elle seule peut réinsérer des élèves en grande difficulté ! Il faut arrêter de penser de façon simpliste que l’on peut ajouter des heures de soutien pour combler les lacunes des élèves surtout en fin de journée ,et réinsérer de la motivation, le goût de l’effort,de la persévérance,de l’endurance pour réaliser un projet. Cette section s’avère indispensable si l’on veut arrêter la spirale de l’échec scolaire !
Mais qu’est-ce que ce débat a à voir avec l’éducation prioritaire ?
Le site de l’OZP n’est pas fait pour cela.
61% des français seraient favorables à la création des zones pour les congés d’été, et donc favorables à la diminution de la durée des congés de 2 mois à 1.5 mois. Je suis totalement contre car cela va créer des problèmes pour les parents de prendre leur congès sur un délai plus court. Travaillant dans un secteur où on nous demande de prendre 3 semaines de congès à se partager entre 4 personnes ayant des enfants scolarisés soit entre mi-juin et mi-septembre, deux d’entre nous sont déjà lésés, alors sur 1.5 mois cela va créer encore plus de problème.
d’autre part, on sait très bien que les derniers jours d’école ne sont pas consacrés à un enseignement mais à des moments plus festifs alors pour les enfants qui partiront en vacances au 15 juillet, l’école ne servira à pas grand chose alors laissons les s’amuser un peu, la vie d’adulte est suffisament chargée comme ça.... et que dire pour les gamins qui rentreront au 15 août ???
pourqui ne pas réduire les congès de novembre et les congès d’avril à 1 semaine cela est amplement suffisant. Mais j’imagine bien les réactions négatives de nos amis les enseignants, que l’on ne touche pas à leur 16 semaines de congès !!!! Courage pauvres écoliers !
pour info,(Extrait de LaDepeche.fr du 30.08.10)
Graulhet étant en zone « ambition réussite », la préconisation est une scolarisation précoce d’où l’accueil des TPS en maternelle. Danièle Désert poursuit : « A cette heure, je n’ai pas de solution pour ces 30 enfants qui devraient être scolarisés en TPS dès ce jeudi 2 septembre.
Aujourd’hui une école risque de fermer
http://petitionpublique.fr/PeticaoListaSignatarios.aspx?page&sr=101&pi=ventenay
pas très logique tout ça non ?
Donc, j’apprends que 13 séances constituent un "programme bref". Que dire alors des 3 séances de la "mallette des parents" ? Super-bref, rapide comme l’éclair ?
Votre site est tout simplement génial ! Je le parcours depuis des heures !
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ou sont faient les efforts a Evariste Galois ? ou ??????????????
AUCUN EFFORT N’a été fait. Les eleves ne sont meme pas respecter, les adultes sont les premiers a voir un language qui depasse les limite.... Alors comment ne pas avoir des enfants violant. Les profs ne sont meme pas réactifs.... un éléve de 3emme a apporter un crandarer en cours, le prof la vu, mais n’as meme pas réagis... seulement 3 jour aprés le prof a prévenu la directrice, cela est innadmissible, le prof aurais du réagir dans l’instantaner.
E quant un eleve sort sa kekette en classe, discretement pour ne pas etre vu par le prof, il est ou l’effort......
Et quand d’autre eleves prennent les plus gentils pour des chien chien, ou le menace ; ou l’attende a la sorti du college avec 7 copains ? Il est ou l’effort ?
Rayonnement.........Que faut-il entendre par là ?
Aujourd’hui, pour obtenir des moyens, il faut savoir se vendre, être diplomé en communication ?
L’épanouissement des élèves n’est pas un créneau vendeur, les seuls mots d’ordre : rentabilité, résultats........
Dans le cadre du PAF 5 établissements ont bénéficié dune formation de 3 jours sur la relation parents/établissements. Ces formations ont été animées par l’AROEVEN de Bordeaux auprès d’équipes pluridisciplinaires y compris des parents d’élèves élus au CA. Elles ont permis de clarifier les attentes repectives, de réfléchir aux modalités de communication avec les familles et de produire des outils permettant d’améliorer le dialogue. Dans l’un des collège c’est au réseau de réussite scolaire que s’est adréssée cette formation qui a donc concernée des enseignants de différentes écoles maternelles, primaires, RASED et collège ainsi que des parents.
Ce travail réalisé avec des parents permet un rapprochement évident des professionnels de l’éducation avec les familles et une meilleure compréhension. En outre il a permis de prendre conscience de l’énorme pression scolaire subit par les familles et les enfants liée à l’histoire des rapports école famille et entretenu inconsciement par le système actuel que ce soit par l’évaluation, les devoirs , le système de réunion, de sanction...L’école n’est plus vécue comme un lieu d’épanouissement, de plaisir mais comme une contrainte nécessaire pour réussir dans la vie . Aucun des acteurs de l’école rencontés lors de ces formations ne souhaite cela. Une prise de conscience de la reproduction des tensions école-famille semble un prélable à toute action.
Dans son interview au JDD sur le plan Sciences, qui doit être expérimenté dans 400 collèges en RAR et en Eclair, Luc Chatel cite en exemple la Main à la pâte
Un tel détournement n’est pas unique : ce qui était annoncé comme un "plus" pour l’éducation prioritaire a été par la suite détourné, ou étendu à l’ensemble des écoles et établissements.
Ainsi pour "La main à la pâte", plus connue que "Les cordées de la réussite" : quand Georges Charpak, rentrant de Chicago où il avait vu, dans une école de banlieue, des pratiques pédagogiques intéressantes, l’a créée avec Pierre Léna, Yves Quéré et l’Académie des Sciences, il avait clairement annoncé que l’implantation souhaitée était les ZEP.
Le Centre Alain Savary (INRP), mis au courant par Pierre Léna, alors président du Conseil scientifique de l’INRP, n’avait pas les moyens d’agir en direction des ZEP. Se sont donc immédiatement portés volontaires des territoires favorisés et informés. Ainsi, la commune ultra favorisée de Saint-Germain-en-Laye, dans les Yvelines, a sauté sur l’occasion. Elle a bien eu raison, "La main à la pâte" étant aussi bonne pour tous les enfants quelle que soit leur catégorie sociale.
"La main à la pâte" est peu représentée en ZEP : c’est particulièrement dommage et cette observation montre la trahison de l’intention initiale. Les hommages rendus justement à Georges Charpak lors de sa mort ont oublié de l’indiquer.
Pour La Main à la pâte" ou "Les cordées de la réussite" l’objectif n’est pas de réserver une bonne mesure aux ZEP mais que les ZEP (RAR,RRS...) en bénéficient en priorité.
C’est le prof. d’éducation musicale qui a raison...Ce genre d’expérience doit être pratiquéà l’échelle de l’établissement tout entier pour espérer peu à peu une modification.Celà nécessiterait même une mise en place en primaire car l’identité scolaire se constitue la plupart du temps assez tôt, en fonction de ce que l’enfant renconcontre comme expériences concrètes de travail et comme éléments d’appréciations, de jugements qui lui sont renvoyés(sans compter l’influence du milieu familial... ). Ce qui est ancré en lui de négatif ne peut se défaire en intervenant uniquement sur un élément du problème( en l’occurence la manière dont on l’évalue...et qui pose en plus de redoutables difficultées comme vous l’avez remarqué...) Si le sentiment de réussite progressive est evidemment necessaire pour une motivation plus grande, il faut bien avoir conscience qu’un élève arrivant au collège avec un passé d’échec( même seulement partiel) est aussi sensible à ce qu’il perçoit de ce que vous pensez de lui...indépendamment du contenu pédagogique proposé( qui, d’ailleurs ne doit pas être à visée trop basse...)
Ensuite, interviennent d’autres facteurs sur lesquels il serait bon de revenir : les moyens accordés en aide ou en soutien (et leur organisation) , la pédagogie proprement dite , le contexte familial , la situation particulière du collège dans son environnement, son histoire... Dialogue à poursuivre