...Il est assez incroyable de constater que les travailleurs sociaux, dont la spécificité première était de travailler sur l’individu, là où tous les autres pro des quartiers travaillaient sur le collectif, et bien ceux là défendent dans ce texte la nécessité urgente de reconsidérer l’espace collectif au moment où toutes les autres composantes ont devoir de penser de plus en plus individuel !
Mais que se passe-t-il dans notre société pour en arriver à de telles contradictions ?
Quelques réflexions sur l’appel de l’IRDU :
Le diagnostic, de connaître l’existence d’une « question ethnique pour « comprendre notre société »
On peut s’étonner que pour des « travailleurs sociaux « donc une catégorie de personnes et un ensemble d’institutions ( ?) bien au fait des réalités locaces, sociétales il ait fallu l’explosion des exclus de la reconnaissance (« jeunes des banlieues » en majorité fils de familles maghrébines et noires et aussi héritiers des stigmates de la colonie » ), jeunes désespérés qui protestent contre la place qui leur a été assignée à eux et à leurs parents, le déni d’existence qui leur est fait quotidiennement en dépit des droits de citoyenneté qui sont les leurs en tant que Français, des laissés pour compte du principe de l’égalité des chances- et ce depusi 1960 début des « émeutes urbaines »), donc en cette année 2005 des faits et des événements violents alors que nombre de travaux ont analysé et montré les processus et les mécanismes d’ethinicisation à l’œuvre dans notre société et notamment aussi à l’Ecole, que des voix se sont levées pour les dénoncer, pour qu’enfin soit réaffirmée dans ce texte l’existence d’une « fracture urbaine, sociale et ethnique, culturelle religieuse » qui justifie un « changement de cap ».
L’émeute aura au moins provoqué un retour sur soi salutaire ! Non plus « eux « et « nous » mais un « Nous » à construire !
Donc saluons d’abord cet appel à un changement de société, à des changements concrets et réels qui se défient des incantations aux principes républicains, qui posent de véritables pierres à la construction d’une société plus démocratique ; une société de libertés qui tend vers l’égalité des chances et ne laisse pas sur le bord du chemin les plus démunis...
Le texte s’en prend à une critique à présent obligée et bien établie du modèle républicain et oppose (rappelle), là encore opposition attendue, l’existence de corps intemédiaires entre l’individu et l’Etat, le citoyen et l’ Etat, les citoyens qui forment la communauté nationale et l’Etat - la communauté nationale étant, la seule comunauté acceptable (car abstraite) et que reconnaisse la République . Le « modèle » , le soi- disant modèle républicain intangible rejette « les communautés » ou associations fondées sur des affinités, des appartenances ethniques,culturelles et religieuse. Le texte sous-entend et pose comme acquis que les valeurs républicaines (liberté, égalité, fraternité laïcité, universalité) ne contribuent plus à modifier les pratiques ségrégatives, stigmatisantes que les dominants ou « plus favorisés » (y compris les institutions) développent à l’égard des dominés.
Il s’agirait en fait d’élaborer un modèle mixte tout à la fois communautaire et individualiste si l’on se réfère aux objectifs déclarés : « développer les valeurs républicaines, la notion de communauté dans l’intervention sociale »
Néanmoins il n’est pas sûr qu’il ne faille point rester vigilants sur le rôle et le poids décisif que joueront les appartenances ( alors acceptons provisoirement le terme « appartenances communautaires ») s’il désigne là le résultat d’une configuration d’ « appartenances » - ce ne sont pas toujours souvent les m^mes qui sont mobilisées par les individus pour agir) par rapport à tel ou tel projet porté collectivement, et ce à défaut de l’avoir expérimenté. Sans doute se sentira t-on davantage citoyen et impliqué dans la vie et la transformation des situations ; « le lien social » ne sera plus de l’ordre de l’abstraction mais du « vécu » dans une telle perspective.
Certes « citoyenneté et appartenances ne sont pas contradictoires », encore faudrait-il que les droits politiques qui sont aussi sous tendus par la notion de citoyenneté soient reconnus à ceux qui ne sont pas des nationaux et qui vivent et travaillent parfois depuis de nombreuses a nnées dans la société française. Le texte nous paraît flou sur ce point Comment accrître la capacité d’intervention si elle n’est pas non plus aussi politique dans une démocratie ?.
Il semble que dans cet appel soit privilégiées « les communautés de vie » donc différents types d’associations, fondées sur des liens qui se forment au niveau du local, sur un (des) même territoire(s) où auraient à voir et à agir ensemble des individus, parce qu’ils y vivent et y mettent en commun leurs ressources (intellectuelles affectives...) pour prendre en charge démocratiquement c-’à -d par le dialogue et le débat leur avenir commun.
Ce appel prône comme solution le « dévelopement communautaire », plus qu’un concept ou une notion, qu’une politique avec des dispositifs originaux tels ceux développés et mis en oeuvre au Canada, aux Etats -Unis (CDC depuis 1967 aux USA) , de façon pragmatique mais toujours évalués.
Là, le texte laisse entendre qu’il est peut-être inutile de réinventer la roue mais de transposer en l’expérimentant dans nos contextes territoriaux en France (ZUP, ZUS, banlieues etc ), tous très divers et ayant leurs spécificités propres en dépit des nombreuses similarités qu’ils partagent, ajoutons à condition néanmoins de tenir compte des différences de culture, d’histoire entre les pays anglo-saxons et au sens large européens.
On sait par ailleurs alors qu’en France les réponses aux questions d’exclusion et de « diversité » ou de « minorités ethniques » ou « minorités visibles « (terme canadien) sont centralisées et fondées sur l’intervention de l’Etat, elles s’enracinent aux USA dans les initiatives des habitants et les dynamiques locales (sauf pour la question ethnique où l’Etat joue le rôle principal d’impulsion d’affirmativ action ). Y devient le principal moteur de l’action le sentiment de solidarité communautaire. Ainsi on peut se demander si porté à son terme le principe de communauté affinitaire quelconque même s’il est « fondé « sur le partage d’un territoire ne risque pas de constituer un danger celui de mener à un enfermement relationnel ? ou un séparatisme social ? Toutefois l’IRDU semble avoir perçu ces risques puisque dans ses objectifs, elle évoque de « définir les concepts de développement social local et de travail social communautaire ». Alors vient une autre question. Comment ? par l’expérimentation et l’évaluation ? par des discours théoriques, par la contruction d’une théorie fondée sur les résultats de l’expérimentation ? et pour cela en s’inspirant des expériences étrangères et françaises méconnues parce que mal diffusées et en France encore trop peu analysées et disponibles
Il parle aussi d’"ingénierie » ? qu’est-ce à dire ? un emboitement de dispositifs articulés et coordonnés : les uns mis en place et expérimentés par les acteurs locaux, les autres promus par les différentes collectivités (niveau commune, région Etat). Là aussi ne faut-il pas repartir et réfléchir en termes d’interactions, d’interconnections que certaines conditions et un ensemble de conditions, certains « liens » à différents niveaux (personne interpersonnel ?? institutionnel) contribuent à créer età maintenir ouverts ? Dans ce type de configuration, quel sens prend la notion de pilotage ? et celle d’ évaluation ? qui se concerte avec qui ? quel partage du pouvoir dans la décision et l’action ?
Un peu bureaucratique et opaque cette notion d’ « ingénirie » !
L’expression « utilisation intelligente du lien communautaire » nous inquiète.Quel est tout à coup ce surplomb non indentifié et identifiaible ainsi désigné ? L’Etat ? les différentes collectivités territoriales ? les seuls travailleurs sociaux ?? A eux la charge ou la mission de « renforcer le capital socialdes habitants » ? N’y faut-il pas des actions croisées et la parole, enfin entendue qu’expriment au départ des habitants eux-m^me ?
Comment accroître la capacité de pouvoir des gens dans leur vie (empowerment) et quelles en sont les conditions, voilà la seule et vraie question ! Comment rendre capable sans immédiatement assujetir à sa vision (la première phase de la Politique de la Ville a montré le slimites de ce que l’on désiagnait par la participation et l’initiative des habitants) ? comment construire un compromis autour du quartier ? comment faire vivre la démocartie , la délibération, l’intérêt général à l’heure de la mondialisation, d’un sentiment général de précarité et d’incertitude partagées, de défiance vis à vis des politiques.
Il reste donc beaucoup d’éléments à préciser et à débattre au cours des rencontres à venir que nous espérons fructueuses et éclairantes pour tous.
Enfin, la partie « perspectives » de l’appel veut « réconcilier travail social classique avec actions relevant de la politique de la ville... » et appelle à « la création d’un groupe de recherche action inter-réseaux . »
Nous n’y pouvons qu’y souscrire et l’encourager.
MG. Philipp le 1/2/07
Bien, bien, bien.
Vous avez oublié l’idée n°51 :
"Voter pour un(e) candidat(e) qui réduira la pauvreté au lieu de faire des discours sur la fracture sociale"
Bonjour,
Je souhaiterai rappeler au parti socialiste et à Ségolène :-) que le cycle 2 est constitué de la GS du CP et du CE1. Personne ne peut plus ignorer que la GS est une année fondamentale pour la réussite de tous les enfants en cycle II. Allez, Ségolène encore un effort : des effectifs limités en Cycle II !
Monsieur de Robien pourrait-il prendre le temps de distribuer des clés aux enseignants du primaire :-), cela lui permettrait d’en garder une pour lui et de relire les programmes et les documents d’accompagnement de la maternelle au cycle 3 ;-).
Quelle belle leçon d’enseignement de la littérature dans "les beaux quartiers" !!!
Je pense Monsieur qu’il y a bien longtemps que vous n’avez pas mis les pieds dans une classe d’un collège de ZEP.
Un petit conseil : allez y faire un tour, mettez-y en pratique vos sages paroles et faites nous un retour après expérimentation.
Bon courage et à très bientôt
Bonjour
Vos critiques sont à adresser aux auteurs des articles qui sont ici reproduits.
En ce qui concerne notre revue de presse quotidienne, nous reproduisons tous les articles donnant la position des candidats à propos de l’éducation prioritaire et tous les commentaires de la presse à ce propos.
Si vous avez des informations que nous n’avons pas relevées, envoyez-les nous : vous pouvez être assuré qu’elles seront reproduites dans cette revue de presse pluraliste : sa lecture depuis plusieurs mois montre qu’il n’y a pas de parti pris politicien.
Très cordialement,
Alain Bourgarel
Qu’il faille faire quelque chose de nouveau pour des jeunes en perdition, je suis bien d’accord avec vous. Il faudrait que François Bayrou nous donne des détails : est-ce que ces "établissements d’éducation" seront des internats ? Qui recruteront-ils comme élèves ? Quels âges auront ceux-ci ? Que fera-t-on dans ces établissements ? Qui y enseignera ? Quels autres éducateurs y travailleront ? Etc.
Je trouve qu’on ne peut faire une telle annonce sans préciser de quoi il s’agit. Aussi j’espère que François Bayrou va détailler cela dans les prochaines semaines, sinon, il n’est pas sérieux.
Bonjour,
je suis déçu par l’analyse très subjective, partielle voire partiale que vous faites dans tout ce numéro, des propositions des candidats à l’élection présidentielle.
D’abord, je constate que la place consacrée à chacun des candidats est très inégale. Est-ce l’effet du mirroir déformant des sondages ou de celui des médias ?
Ensuite, vous ne prenez même pas la peine de relever le caractère ultra-libéral de la vision de N. Sarkosy qui veut supprimer les ZEP, ni le flou de la position de Mme S. Royal lorsqu’elle parle de redécoupage de la carte scolaire. Vous n’ignorez pourtant pas les risques de dérive et d’aggravation des ségrégations sociales contenus dans cette proposition de laisser le choix entre plusieurs établissements aux familles, ni de noter l’absence de prévision de financement. Quant à M. Bayrou, pouvez-vous m’expliquer quels sont les financements prévus et pour faire quoi exactement, en termes clairs ?
En revanche, s’agissant de M. H. Besancenot, vous le traitez carrément de "blairiste", quant à Mme M. G. Buffet, vous l’exécutez sans même avoir lu ses propositions qui sont d’ailleurs celles des collectifs anti-libéraux. Et c’est totalement faux de dire qu’aucun moyen de financement n’est prévu, il aurait suffit de lire le paragraphe suivant votre extrait :
"L’avenir de notre école ne dépend pas que des moyens, mais sans sans eux, rien ne sera possible : je propose d’augmenter le budget de l’Education nationale en portant la part de l’Etat à 7% du PIB. Recruter et former sur cinq ans 150 000 enseignants et 45 000 personnels d’accompagnement. A partir d’une programmation pluriannuelle des postes qui soit accompagnée de pré-recrutements rémunérés, encourageant l’orientation d’un nombre important d’étudiants vers les concours de l’enseignement. Les métiers de l’éducation ont subi depuis plusieurs décennies une importante dévalorisation, notamment au plan des rémunérations. Il faut réhabiliter ces métiers y compris financièrement."
Très cordialement,
Mouloud Haddak
Je suis d’accord avec F.Bayrou quand il propose des écoles spécialisées pour certains jeunes en difficulté car moi-même je m’en occupe dans un LP situé en Zep en Martinique et je trouve que tout ce qu’on fait ,c’est mettre un sparadrap sur une jambe en bois,cest faire du saupoudrage alors que ces jeunes ont réellement besoin d’une prise en charge individualisée avec une écoute et une attention très particulière où tout le monde tient le même langage,avec des objectifs communs,un programme "sur mesure"des intervenants spécialistes tous les jours.Cela les aidera à se connaître,à se soigner,à trouver une voie au lieu de se regrouper,de se droguer,de boire...de retourner toute cette violence qui est en eux contre eux-mêmes.Cela permettra aux enseignants de LP de faire travailler les autres élèves qui le désirent car ils se plaignent souvent du comportement de X ou Y qui les empêchent d’écouter.
Moi, je pense qu’une façon d’apporter un soutien à votre action, c’est ... d’en faire autant !
Je suis directeur d’école en ZEP Ambition Réussite et mon blog existe depuis un an ... et n’est pas encore fermé !
Alors, n’hésitez pas ... défoulez vous !
Archie Bald ("militant" de la chose éducative en ZEP depuis 25 ans)
Bonjour.
Evidemment, il n’y a pas de "problème ZEP" hors du "problème école". Cette revue de presse extrait de questions générales, sur les plan scolaire, social, économique, culturel, politique, etc. ce qui a trait directement à l’éducation prioritaire, c’est sa fonction. Mais les ZEP, en elles-mêmes, ne constituent pas un ensemble de zones "extra-territoriales", hors société, heureusement.
Pour les autres sujets que vous abordez, je vous invite à lire le "Manifeste pour l’éducation prioritaire" que l’OZP a publié en décembre dernier : vous y retrouverez certaines de vos préoccupations.
Pour lire le manifeste, cliquez sur "positions de l’OZP" à gauche de la page d’accueil de ce site.
Il n’y a pas de problème ZEP ou pas ZEP. J’enseigne en ZEP depuis 5 ans et j’ai aussi enseigné dans des collèges dit "classique". Même dans ces collèges, on tombe toujours sur une classe type "ZEP" voir pire, compte tenu de l’hétérogénéité des élèves, parfois plus importante dans les collèges "classiques".
Le problème est l’école et les élèves : comment faire pour remotiver les + en difficultés, faire progresser les motivés, monter vers le haut les plus brillant. Les seules solutions proposés sont toujours + de .... + de ...... . Quand est ce que l’on repensera le temps scolaire, l’organisation de l’école, tout cela pour enseigner différement.
Revoir l’organisation de l’école c’est revoir le temps de présence de nous, les profs dans l’enceinte scolaire : plus de temps à l’école, c’est + de temps pour voir les collègues et recevoir les élèves.
Revoir l’organisation de l’école, c’est aussi revoir les Emplois du temps profs et élèves pour permettre des rencontres hors cours entres les deux. Il faut les allégers pour les deux.
Revoir l’organisation de l’école, c’est aussi revenir à ces satanées vacances scolaires : 2 mois, voir 3 mois l’été si l’on compte Juin (conseil de classe 3ième trimestre) quelle honte ! ça existe nulle par ailleurs. Le cerveau a besoin de repos certs, mais deux mois, c’est de l’hibernation. Demander à un sportif de s’arréter 2 mois, vous verrez le résultat.
Aucun des candidats a le courage ou l’idée d’aller dans ce sens : et pour cause. Nous les profs et syndicats ne voulons surtout pas ce type de changement (trés confortable les Vacances et nos 18 heures à l’école).
Voilà et désolé pour les fautes.
PS : un problème récurant à la Zep se serait le recrutement des profs comme le personnel administratif. Je me demande pour certains ce qu’il font là.
Récemment, un grand nombre de représentants des Equipes de Réussite Educatives, des collectivités territoriales porteuses, des collèges de recrutement potentiel, des préfectures chargées de la mise en oeuvre du plan de cohésion sociale ont été conviés à une journée au sein de l’« Internat de réussite éducative » de l’académie.
Cette rencontre fut fort instructive pour moi car elle m’a éclairé sur
– des locaux inadaptés
– une équipe en questionnement
– pas de projet consensuel
– un 1er bilan apparaissant comme désastreux
Je m’explique :
Des locaux :
– Peu d’intimité pour de jeunes collégiens au milieu de leurs aînés lycéens professionnels, et même aucune pour la toilette
– Chambres extrêmement sobres, absence de décoration, literie rustique
– Salle de foyer d’un autre temps (malgré l’écran plat)
Une équipe :
– des recrutements spécifiques sous statuts difficiles à légaliser
– une équipe pédagogique confrontée à un ajout de difficultés sans moyens particuliers
– une équipe d’encadrement sans mission clairement établie (qui « pilote » l’IRE ?)
Un projet :
– pas de définition du public attendu ni des objectifs d’accueil
– difficulté de positionner la durée de l’accueil en fonction de la spécificité de l’enfant par rapport à l’année scolaire classique
– procédure d’admission lourde et longue, sans assurance de validation en raison du nombre de places limitées
– les questions de lien avec le territoire d’origine nombreuses et complexes
Un bilan :
– 17 jeunes ont été accueillis au début de l’année scolaire 2006/2007 pour une capacité de 20, seulement 10 y sont toujours
– des fonds importants peu utilisés car correspondent mal aux besoins puisque, par exemple, pas de possibilité d’investissement pour améliorer les conditions matérielles
Nous n’avons pas entendus les jeunes actuellement accueillis. Ils semblent néanmoins choyés par les personnels attachés à leur présence. En effet, toutes les catégories de personnel de la cité scolaire (administratif, comptabilité, pédagogique, vie scolaire, santé, social) étaient représentées à la journée de travail et ont affirmé leur attachement à trouver des réponses à leurs nombreuses questions, dans l’intérêt des enfants.
Une Coordinatrice/secrétaire, donc chargée de rédiger des comptes rendus des formations ou informations auxquelles elle participe.
Bonsoir,
en ligne sur le site du Pont Tournant ce soir, le dernier communiqué de crise, et en téléchargement, les chiffres des subventions culturelles de la DRAC Aquitaine, du C. général de Gironde, du C. régional d’Aquitaine et de la Mairie de Bordeaux pour l’année 2006.
Affaire à suivre !
KeleK