Pour clore le débat de la gratuité et des moyens qu’utilise la Ville (dotation de l’état de part la communauté de commune) voilà le résultat de l’état !
Drancy serait trop riche !
voici l’article du journal municipal
Drancy a besoin de la solidarité nationale
Un sujet crucial pour la ville et son budget était au centre du conseil municipal du 1er juin : la perte de la Dotation nationale de péréquation.
Début juin, Drancy immédiat se faisait l’écho d’une nouvelle pour le moins inquiétante pour la ville et son budget : l’inéligibilité de Drancy en 2008 à la Dotation nationale de péréquation qui permet de compenser l’écart entre la richesse de certaines communes et le manque de recettes fiscales de notre ville. Si aucune réforme législative ne vient modifier cette décision basée sur un mode de calcul aux effets pervers, Drancy perdra 1.392.159 € de recettes.
En effet, les données financières de la ville entrant dans le calcul de la dotation n’ont que très peu évolué. Et au vu de la très faible présence d’entreprises sur le territoire drancéen en particulier, ces données sont et resteront parmi les moins bonnes d’Île-de-France. Même si Drancy était au maximum d’impôts autorisés, ce ne serait pas encore assez pour qu’elle soit éligible à la dotation.
Une mobilisation maximale
Dès l’annonce de cette nouvelle, la Ville a déposé un recours gracieux auprès du Préfet de Seine-Saint-Denis. Mais c’est sur le plan législatif que la réforme de cette dotation doit se faire. Conscient de la mobilisation déterminante des Drancéens aux côtés de la municipalité, Jean-Christophe Lagarde, via Drancy immédiat, les a invités à signer une pétition adressée au ministre des Comptes publics. À ce jour, plus de 2000 retours ont été enregistrés. D’autres sont attendus.
Lors de la séance du 1er juin, le maire a également soumis au conseil municipal une motion. En voici un extrait : “les mécanismes de péréquation sont tellement complexes que même les spécialistes sont incapables de déterminer les conséquences des décisions, mêmes mineures, qui sont prises. Face à cette injustice, puisque aucune mesure corrective ne peut être prise au niveau de la ville pour mettre fin à cette anomalie, le conseil municipal de Drancy demande au ministre des Comptes publics de proposer une modification de l’attribution de la dotation nationale de péréquation qui permette à notre ville de disposer de cette recette légitime”.
Le maire a souligné l’importance de cette démarche faite au nom du conseil municipal. “Pour écarter cette menace grave qui pèse sur notre ville, je vais avoir besoin de la mobilisation de tous par-delà les sensibilités politiques”, a-t-il dit. C’est à l’unanimité que les conseillers ont adopté cette motion. Celle-ci demande, outre le cas particulier de Drancy, “une refonte complète du système de dotation de l’État et de la fiscalité locale afin de diminuer les disparités financières existant entre les communes”. Jean-Christophe Lagarde, député-maire, a d’ores et déjà demandé rendez-vous de toute urgence au nouveau ministre afin de lui démontrer l’injustice dont sont victimes Drancy et ses habitants.
Qui se souvient des déclaration de Fadela Amara dans les jardins du ministère de la ville, lorsqu’elle a prononcé : "Moi, en tant que musulmane, je" ? Je cherche désespérément à savoir si c’était bien dans les jardins du Ministère de la ville, ou si c’était plutôt dans les jardins de Matignon. Merci pour votre précision. Salma
Très bien.
Mais une fois de plus on considère le collège RAR comme un isolat, un corps simple, un îlot éloigné des autres terres. Rien sur le premier degré, rien sur le quartier. C’est une conception absurde de l’éducation prioritaire et même de l’éducation en général.
Mais ne boudons pas ce petit progrès : peut-être se rappellera-t-on plus tard qu’un collège - surtout en RAR - n’est qu’un moment et qu’un lieu de la scolarisation.
Je ne vais pas m’étendre sur l’aspect de la politique gouvernementale qui vise à ne pas remplacer un nombre important de fonctionnaires partant à la retraite ( entre 1 sur 2 et 1 sur 4 ) et sur les conséquences néfastes de cette politque tant pour l’éducation nationale que pour les autres services publics, donc pour la Nation.
J’aimerai juste que l’on puisse m’expliquer comment des HSE ( puisque c’est cette rémunération qui sera celle des heures d’accompagnement d’aprés le B.O ), pourra créer ou maintenir des postes, puisque ces heures ne peuvent être utilisées qu’en heures supplémentaires ( c’est à dire au dessus des 18 h de service ).
Ces heures ne créeront pas d’empois ( à moins d’avoir mal compris le dispositif ).
Bruno Hérot
Rien à voir, en effet, avec l’éducation prioritaire au sens où l’OZP emploie ces termes : cette réédition n’a donc pas lieu d’être dans cette revue de presse, si ce n’est pour indiquer qu’il ne s’agit pas de ce qu’on pourrait croire.
Voilà un « Plan Langevin-Wallon » pour le XXIème siècle présenté avec légèreté, sans prétentions et sans approfondissements. Une bonne soirée de lecture.
Merci de cette information. Responsable d’une association d’un quartier toulousain, je m’étonne de ne voir qu’à peine évoquée la place des associations qui assurent déjà l’aide aux devoirs et le développement culturel. Quel est le devenir de ces actions, comment devrons-nous intervenir à la rentrée, sur quels fonds pourrons-nous fonctionner, quid des salariés, ... ?
Trois questions :
1 Comment parler d’accompagnement éducatif sans même évoquer les parents ?
2 Quelle articulation avec le Contrat Local d’Accompagnement à la Scolarité ?
3 Quelle articulation (supplémentaire) avec le PRE ?
Place des IUFM dans l’ encadrement de l’"accompagnement éducatif" : une expérience transposable
Les étudiants et les stagiaires (PE et PLC) en formation dans les IUFM pourraient être amenés à intervenir dans ce cadre, bénévolement pour compléter leur formation, soit par du volontariat en première année, soit de façon volontaire ou optionnelle ou obligatoire la deuxième année, comme cela commence à se faire en partenariat , entre autres, avec des étudiants d’écoles d’ingénieurs.
Un dispositif particulier d’accompagnement scolaire (qui n’est pas une aide aux devoirs) est en cours d’expérimentation depuis quatre ans, dans quatre écoles élémentaires situées en zone sensible dans la ville de Saint-Germain en Laye (78), en partenariat entre la Ville (Maire-adjoint en charge de la prévention), l’Inspection académique (IEN de la circonscription), et le site IUFM (coordination de la formation PE1). Des étudiants PE1, volontaires et bénévoles, préparant le concours de Professeurs des Ecoles, encadrent cet accompagnement scolaire à raison d’une heure par semaine. Des réunions sont organisées régulièrement pour assister les étudiants dans leurs projets.
Les bilans, réalisés cette année, s’avèrent globalement positifs pour chaque partie, aussi bien pour les enfants et leurs parents, pour les maîtres que pour les étudiants eux-mêmes. Les relations nécessaires entre les maîtres et les étudiants, sur le contenu en lien avec les apprentissages, peuvent encore être améliorées.
Un tel dispositif réclame peu de moyens. Ne pourrait-il pas être facilement généralisé ?
et alors ?
Le monde éducatif devrait en principe être une grande famille où chacun s’entraide pour avancer dans la bonne direction. Il est connu qu’une expérimentation ou une méthode pourrait très bien fonctionner dans un établissement et pas du tout ailleurs... L’important, c’est d’avoir accès à ces bases de données pédagogiques afin que chaque enseignant puisse avoir à sa disposition un pool d’outils pour aider au mieux les apprenants en face de lui/d’elle. Il n’y a pas de recette malheureusement ou heureusement.... A mon sens , le plus important, avant tout, c’est la valorisation des apprenants et des enseignants en ZEP auprès du grand public.
Vina Ballgobin
Bonjour.
Ce n’est pas à la revue de presse de l’OZP qu’il vous faut poser la question mais à l’IR-DSU : contact@irdsu.net
Amicalement,
la rédaction de la revue de presse
Bonjour,
Je suis coordinatrice du PRE sur la ville de Fleury Mérogis (91).
J’ai adhéré au réseau cette année.
Il m’avait été signalé lors de l’adhésion que je recevrai régulièrement des informations ciblées du réseau.
c’est tout à fait par hazard que je prends connaissance de ce message en navigant sur le net.
Qu’en est-il exactement ?
Merci de me tenir informée du fonctionnement du réseau.
Cordialement
Professionnelle en santé publique en charge de programme d’actions sur une communauté d’agglo, je suis interéssée par la démarche du petit bus de dépistage et prévention bucco dentaire je souhaiterais connaître le coût du bus et le nom de la société qui fournit ce type de matériel
merci
cordialement
Christine Liberge
Peut-être que si les journalistes se cantonnaient à écrire sur des sujets qu’ils maîtrisent, la presse serait aujourd’hui plus lue !
el di ke dla merde (julie) arete de ns prendre pr des clochard