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La lutte contre les inégalités scolaires et territoriales parmi les priorités du Conseil national d’évaluation du système scolaire (Cnesco)

29 janvier 2014

"C’est un jour très important car notre pays a besoin d ’évaluations indépendantes". Vincent Peillon a installé le 28 janvier le Conseil national d’évaluation du système scolaire (Cnesco) en présence de sa présidente, Nathalie Mons, et des membres du conseil. N. Mons a insisté sur l’originalité d’une évaluation participative et tournée vers les besoins des acteurs de l’Ecole.

[...] Mais c’est surtout sa méthode que N. Mons a mis en avant. "L’évaluation ne sert que si s’établit un dialogue avec la communauté éducative", a-t-elle déclaré. "Les chantiers prioritaires vont être définis par le conseil lui-même". Mais elle a précisé quelques thèmes probables : la destinée scolaire des enfants des milieux défavorisés, le décrochage, l’enseignement professionnel, les inégalités scolaires et territoriales. Le Cnesco veut influer sur les pratiques des enseignants et donc diffuser ses travaux auprès d’eux. Mais comment faire ?

Extrait de cafepedagogique.net du 29.01.14 : V. Peillon installe le Cnesco

 

Le Cnesco produira un rapport annuel, avec la volonté de « lever des tabous, sans polémiques stériles ». Parmi les dossiers prioritaires que Nathalie Mons souhaite aborder, les ressorts des inégalités scolaires – y compris d’un territoire à l’autre –, qui n’ont cessé de se creuser en France, comme l’a montré la dernière étude Pisa.

Extrait de lacroix.fr du 28.01.14 : Nathalie Mons veut évaluer l’école sans tabous ni polémiques

 

Emmanuel Davidenkoff
[En somme ce Conseil va marcher sur beaucoup de plates-bandes [DEPP, IG, IFE,ndlr]. Vincent Peillon devrait néanmoins être attentif à ses recommandations : il a voulu la création de cette instance puisqu’il l’a inscrite dans sa loi ; ce n’est pas non plus un hasard s’il a nommé à sa tête Nathalie Mons, à qui il avait déjà confié la codirection de la concertation qui avait été organisée en prélude à la loi d’orientation. Mais il suffira d’un changement de ministre pour que tout soit remis en cause – ce ne serait pas la première fois.

Extrait de franceinfo.fr du 28.01.14 : Question d’éducation. Un nouveau scanner pour l’école

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