Il est étonnant que, sur un site comme le Café pédagogique qui sur d’autres sujets montre une vraie compétence pédagogique, ce soit T. Piketty qui constitue encore la référence dès qu’on parle des ZEP.
Non, il n’a pas du tout "mis en évidence" qu’une forte diminution des effectifs par classe en ZEP avait un effet significatif. L’élévation de 4 points sur 100 des performances des élèves de ZEP aux évaluations en début de CE2, résultant d’une l’extrapolation statistique, n’est pas un progrès suffisant pour décider d’affecter 8000 postes à la diminution des effectifs des classes des écoles élémentaires de ZEP.
Si l’on suivait T.Piketty, dans une école ayant 10 classes de 22 élèves, chacune devrait recevoir 3 postes supplémentaires pour qu’on obtienne 13 classes de 17 élèves.
Qui peut prétendre que ce serait le meilleur usage de ces postes ?
F.- R. Guillaume
Merci chère coordo de tes remarques auxquelles j’adhère et que je complèterais volontiers par les lignes suivantes, un peu en vrac, mais correspondant bien à l’état d’esprit professionnel du moment :
Localement, nous avons eu une réunion académique de tous les membres des comités exécutifs des RAR avec M Polivka le lundi 22/05. Cette réunion (couteuse) ne va rien permettre d’autre que de faire remonter un sentiment de plain accord puisque présence massive des collègues mais réunion suffisamment bien formatée pour que ne s’expriment le moindre doute, la moindre question de fond.
Ce 30, il y a eu la même au niveau national, notre Principale y était convoquée, même remarque : les temps planifiés d’échanges avec le ministre ou ses représentants ont gentillement été oubliés.
Pourtant, autant j’avais trouvé quelques bonnes idées dans la forme de cette loi à sa parution, autant maintenant, le fond me parait très préoccupant : "s
Néanmoins, aucun moyen pour améliorer l’école élémentaire (fermetures de poste suivant règles traditionnelles de carte scolaire par ex) et, pire encore, détérioration de l’accueil en maternelle puisque malgré une natalité en hausse, pas de création, donc impossibilité d’inscrire les deux ans sur 2 écoles sur 4 à la rentrée (ou à en pendre plus de 26 par classe) ! Dans un département aussi rural que le notre, avec plus d’un tiers d’école à une ou deux classes et où il a fallu rendre 3 postes au ministère, difficile de trouver des solutions locale !
Les enseignants sup., tous du collège*, vont avoir beaucoup trop à faire intra muros pour pouvoir intervenir pédagogiquement de manière sensible sur les écoles, malgré la volonté affirmée et écrite dans leur lettre de mission de travailler avec les cycles 3. Mais comment être sur tant de tâches si nouvelles et si gourmandes de temps (ex : accompagnement des PPRE) en seulement 2/3 du temps PLC ?
De même pour les 4 ass péda ( à 20h/semaine, pris sur les ASSEDUS des lycées qui doivent rendre ces postes créés l’an passé !) qui ne pourront pas accompagner les études des 400 bénéficiaires potentiels (Cycle 3/collège) en se démultipliant chaque soir de 16h30 à 18h00. Les animateurs du centre social prendront le relais, sans vertitable formation ni accompagnement, comme jusqu’à maintenant. Les enfants qui bénéficieront de cet encadrement plutôt que de l’autre seront "triés" comment ? A moins qu’un enseignant participe avec les animateurs, payé en heure sup. Politique ville soit 26.80 alors qu’eux même le sont 8.60 !!!
Et puis, que penser de l’école après l’école, sans l’école, comme principal recours à la difficulté scolaire ???
Je m’inquiète aussi de l’impact de l’individualisation à outrance : quelle société prépare t’on ? Le chacun pour soi ne me convient pas. Encourager comme punir les individus en ne les regardant que dans leur unité propre (santé, famille, résultats, papiers ...) me donne l’impression de trier des pommes : une petite tache de pourriture ? On lui injecte un peu d’engrais, on la frotte et refrotte, on la retourne dans le cageot : si elle garde un minimum d’éclat, on la vend, sinon, on la jette. Par contre, on ne fait rien pour que la terre, l’arbre et le récoltant puisse améliorer leur production. En Education, je suis convaincue que la personnalisation est essentielle mais que l’individualisation est dangereuse.
Que la volonté louable et à laquelle j’adhère totalement de l’OZP de faire évoluer la situation de l’Education prioritaire dans ce pays ,et surtout le droit à l’Education des plus fragilisés, ne fasse pas oublier de regarder ces nouvelles directives ministérielles au delà de la forme et en lien avec l’ensemble des autres mesures concernant l’enfance, la jeunesse, la famille (pour ne citer qu’elles).
Les pédagogues volontaristes sont les plus sensibles aux questions de société, ils ne s’engageront pas dans de nouvelles innovations si ils ne sentent pas l’éttayage. Et comme le dit la coordo du message précédent, le PRE patauge déjà au bout de six mois, parce que l’argent ne résoud vraiment pas tout ! ( et encore faudrait- il pouvoir le dépenser car, ici, il y a toujours un des partenaires pour exprimer sa réticence au moment d’engager une dépense. Résultat, en six mois et une quarantaine de situations étudiées par l’équipe pluri disciplinaire, à peine 400 euros ont été réellement dépensés pour un service à l’enfance !!!)
J’ai (avec ma Principale) engagé fortement notre ZEP dans le processus EP1 comme dans le PRE (combien d’heures sup ?) mais voyez que ce n’est pas sans réflexion.
Nous ne sommes pas pour autant totalement péssimistes : Nous avons juste pris l’habitude d’affirmer que nous avions ici un projet de développement durable : le développement durable de l’Ecole Publique.
Une autre coordo, de "province"
(* on voit ici une limite de la politique "volontariste" de notre académie : ces profs ont été à choisir dans le second degré uniquement, non pas par choix pédagogique, ni sur critères d’évaluation des situations locales, mais parce que le services des moyens a trouvé l’aubaine de réduire des sureffectifs second degré)
Je possède tous les album de Davis et les écoute régulièrement, c est une excellente nouvelles de
savoir qu il va y en avoi un nouveau, d autant que le dernier était particulièrement bien conc musicalement parlant, je pensais qu il serait dernier de la lignée
VIvement le printemps
Reprise d’un article publié dans la rubrique Libres propos
Les défauts de notre système me semblent avoir pris, encore une fois, le pas sur les avancées qu’aurait pu permettre le texte de relance, car un texte n’est pas grand chose, c’est bien sa mise en oeuvre qui est essentielle et c’est là que je commence à être pessimiste !
– La carte des réseaux ambition réussite ne me semble pas pertinente et elle présente de nombreux défauts qui entachent gravement le principe pourtant indispensable de réduction de la carte de l’éducation prioritaire. Certes les « réseaux » ont remplacé les « collèges » ambition réussite mais, concernant la définition de la carte, le premier degré est assez absent du diagnostic (cf les critères des réseaux ambition réussite critères essentiellement collèges ). On sait pourtant que l’absence de mixité sociale est gravissime dans certaines écoles maternelles et élémentaires ; l’approche territoriale perdure de fait, mais, faute d’analyse fine, elle risque d’être mal ficelée...
– La mise en œuvre de contrat d’objectifs dans un délai très court où les recrutements d’enseignants précèdent les projets à écrire autour de propositions intéressantes (travail autour de livret de compétences, travail en cycles sans redoublement etc...) mais sans outil, qui eux aussi viendront après ... Eviterons-nous ainsi des projets insatisfaisants bouclés à la va vite qui entraîneront frustration et déception ? Eviterons-nous l’impression des équipes de tout devoir inventer, seules et vite...
– Certes il y a un accompagnement prévu dans lequel les IPR sont impliqués ; les quasi-seuls à être impliqués d’ailleurs puisque les IEN ont été « un peu » oubliés, ce qui donne une ambiance de coopération sur le terrain qui n’est pas au beau fixe (l’a-t-elle jamais été ? mais là ça risque d’être pire !). Des IPR donc, mais complètement débordés (par d’autres tâches) qui ne peuvent assurer un accompagnement de proximité.
– Le risque de tout cela est encore une fois le travail vite fait, mal fait, superficiel sans réflexion aboutie ; on rendra des projets, on obéira aux injonctions... Pour le supplément d’âme et l’efficacitén, on verra après, comme d’habitude ! Je pense que le rôle des corps d’encadrement, pour des raisons diverses et à analyser, risque une nouvelle fois de ne pas être à la hauteur des enjeux.
– Ajoutons à cela la mise en place des équipes de réussite éducative, énorme gaspillage annoncé, pour une approche individuelle qui pose des problèmes éthiques énormes que l’on feint d’ignorer ou que l’on minimise (quelle vision de la réussite, de l’échec scolaire ? Quelle analyse de la difficulté scolaire ? Quid du risque de la médicalisation à outrance (les psy les orthophonistes et autres pédopsychiatres ont de beaux jours devant eux !) ? Quid du risque de culpabilisation des individus, du risque de l’extériorisation des problèmes scolaires sous prétexte de partenariat et « que l’école ne peut travailler seule » (ce qui d’ailleurs est très vrai mais peut aussi cacher la politique de Ponce Pilate).
– Que dire enfin des EP2 (ou 3, les oubliés de l’instant, qui attendent un peu dépités et vaguement inquiets, se demandant si après la lutte contre le CPE et la révolte des banlieues et avant 2007, la relance des ZEP osera aller jusqu’au bout ? Mais jusqu’au bout de quoi au juste, quand les progrès attendus se perdent dans les méandres pyramidaux ?
Une coordonnatrice ZEP
je viens d etre contactee par un etablissement scolaire qui connait mon parcours professionnel dans le cadre d un emploi vie scolaire ; je me suis donc rendu a l anpe de vitrolles ce jour où après avoir eu un premier renseignement de façon tout a fait serviable, j a i ete litterallement jetée par une jeune demoiselle de ce service anpe qui a refuse tout net de prendre les renseignements precisant que les emplois vie scolaire ne me concernaient pas. je suis agee de 57 ans demandeur d emploi eT indemnise encore pour environ 6 mois par l anpe suite à un ces ;
rentree secouee à la maison par cet accueil pour le moins décourageant, je me suis mis sur internet où j ai pu que je rentrais dans le cadre d’un cae et que je pouvais bénéficier de ces contrats. Voilà ou j en suis de quoi décourager le plus téméraire. Pour ma part ces deux années me permettrait de boucler mes droits à la retraite et faire place aux jeunes... merci madame de l anpe y a til dans ce domaine une formation à la communication cela n est pas que pour les demandeurs d emploi il s agit ici aussi d un emploi au service de la personne. MICHELE ;
Voici un premier exemple (un 5ème poste affecté à la baisse des effectifs) des dérives auxquelles on assistera si personne, sous prétexte d’opposition globale à la politique ministérielle, ne soutient la mesure la plus positive des mesures du plan de relance des ZEP : l’affectation de 1000 postes à l’accompagnement des enseignants et à un travail sur les projets et non pas à la diminution du nombre d’élèves par classe.
F R Guillaume
Ce regain de violences est intolérable. Et si l’Etat supprime les postes d’Aide-Educateurs, les jeunes, déja abandonnés par un système conçu pour les faire échouer, ainsi que bien souvent laissé pour compte par leurs parents, auront bientôt peur de se rendre dans un lieu synonyme d’apprentissage et représentant l’Etat. J’espere que la Police retrouvera les coupables....Mais qu’est ce qui a poussé des jeunes à faire cela. Il faut prendre des décisions maintenant, avant qu’il ne soit trop tard et que cette violence ne se généralise encore et encore.
Monsieur Castro,
J’aimerai pour une fois que l’on ne mette pas l’urbanisme en cause dans les problèmes des banlieues. Si tel était le cas, aucune des personnes habitant dans les ZEP ne s’en sortirait socialement. Hors il y a des cas qui prouvent le contraire et bien heureusement.Le problème est encore une fois bien humain. Les vrais soucis sont l’incapacité des professeurs à tenir une classe d’enfants qui bien souvent ne le sont pas non plus par leurs propres parents. Ces pauvres enseignants ne suivent aucun véritable enseignement pédagogique durant toute la durée de leur formation, que ce soit le CAPES, ou l’IUFM. Pourquoi ne passent-ils pas par une formation du type BAFA renforcée ? Tous les enseignants de ZEP à qui il m’a été donné de discuter n’avait qu’une hâte, être muté ailleurs. Et je parle de professeurs de primaire !!! C’est un systéme conçu pour faire échouer les enfants. Personne ne prend véritablement les choses en main, et mettre des policiers expérimentés, déjà dégoutés par la politique de statistiques de Monsieur Sarkozy, afin de jouer les éducateurs est une erreur....Ils ne sont pas là pour cela. Il faut réformer les programmes scolaires ainsi que les formations des maîtres et professeurs...Pourquoi n’y a t-il pas une formation spéciale ZEP pour les enseignants ? Aprés tout c’est un régime scolaire à part.
Avant de créer un GRAND PARIS, commençons par créer une génération de gagnants , ainsi qu’un système où personne, je dis bien personne, ne sera laissé pour compte.
Bonjour,
J’aimerai savoir sur quels critères vous sélectionnez les étudiants aidés par l’association ? Sont-ils sélectionnés aprce qu’ils sont en situation de réussite scolaire ? ou au contraire en situation d’échec ? et si le doublement des demandes d’entrée en prépa doublent, est ce que le taux d’admission, car cela est bel et bien le plus important, augmente lui aussi ?
Merci.
Pourquoi le collège Michelet refuse de porter plainte après cette agression ?
Par peur des représailles entend on dire ? Dans ce cas, le problème ne risque par de s’arranger.
J’habite ce quartier et je trouve exagéré de dire qu’il est "difficile". La preuve, les agresseurs ne venaient pas d’ici.
Bonjour.
L’OZP travaille sur le champ précis de l’éducation prioritaire : la question du collège "unique" est donc en dehors. Cependant, ignorer une telle question serait irresponsable et nous avons donc à plusieurs reprises mis cette question parmi nos débats.
Vous trouverez sur ce site le compte rendu de l’intervention de François Dubet que nous avions interrogé à ce sujet : Compte rendu
Vous trouverez aussi la participation de l’OZP au colloque sur le collège unique, en 2003 : Participation
Enfin, vous trouverez la contribution de l’OZP qui montre bien que la situation actuelle est aussi insatisfaisante que le projet du ministre d’alors : Contribution
Restant à votre disposition,
le secrétariat de l’OZP
Nous sommes des professeurs de collège à l’origine d’une pétition.
http://pourunautrecollege.online.fr/
on est parti du constat qu’on en avait tous, plus ou moins marre du collège unique qui ne permet pas aux élèves faibles de progresser et qu’on garde en état de survie jusqu’à la troisième avec des programmes inadaptés à leurs capacités et à leurs besoins. Du coup, en s’adressant à des élèves moyens , on réfrène aussi les élèves qui ont un potentiel plus développé, tout en favorisant , sur fond de vexation et de démotivation, le développement de la violence de la part de ceux qui ne réussissent pas.
Pour nous le collège unique avec sa filière unique pour tous conduit aux échecs. Pourtant, ni l’institution , ni , et c’est plus affligeant, les syndicats censés nous représenter, ne partagent cette analyse, tout cela au nom de l’idée généreuse mais utopique du droit de tout le monde d’avoir accès à la même culture. Bien sûr, tout le monde y a droit, mais , nous avons dans nos classes des élèves en difficulté qui ne peuvent y accéder sans un vigoureux coup de pouce préalable . Il ne s’agit pas de mettre en place des filières poubelles , mais de se donner les moyens de remettre à flot des gamins qui coulent au lieu de leur maintenir la tête sous l’eau. Après, par un jeu de passerelles qui reste à créer, ils pourront ( ou pas !) avoir accès à la culture commune !
notre idée, c’est de faire entendre cette voix-là, la voix de la majorité silencieuse pensons-nous des professeurs de collège . Nous rêvons que cette pétition fasse boule de neige ! Pour cela , il faut que chacun signe , puis ouvre son carnet d’adresses pour faire suivre la pétition. Il faut que cette voix enfle , qu’elle soit entendue pour qu’enfin on ose toucher au tabou du collège unique !
Merci de donner suite à ce mail
Est ce la bonne methode que d’interdire aux élèves l’accès au collège ? D’interdire au non grévistes de faire cours ? Quelle leçon de démocratie ...
Vous ne comprenez pas, dites-vous ? Oui, manifestement nous nous faisons mal comprendre, parce que, sans vouloir vous récupérer, je pense que nous sommes d’accord sur l’essentiel.
D’accord pour dire que dans les collèges de ZEP, plus qu’ailleurs, il y a un grand besoin de temps - temps d’enseignant de CPE et de personnel de direction - pour s’attaquer aux problèmes que vous décrivez dans le § « renforcer », pour gérer les difficultés, pour organiser des projets en concertation, de la formation dans l’établissement et créer cette expertise collective que vous demandez.
D’accord aussi sur le sens que vous donner à « réactiver ».
Nous partageons aussi (avec sans doute un peu moins de pessimisme) les mêmes craintes sur la « volonté » de ceux qui piloteront sur le terrain et sur le risque que le recrutement des 1000 postes de professeurs expérimentés ne permette pas toujours de constituer les équipes dont les ZEP ont besoin pour réussir.
Alors pourquoi une liste ? Parce que nous voyons mal comment un dispositif dérogatoire peut fonctionner s’il est trop dilué.
J’ajouterai une autre difficulté : on peut craindre qu’il soit difficile de se mobiliser autour de la mise en œuvre de pratiques pédagogiques et de dispositifs tels que les IDD ou les cycles à l’école si par ailleurs ces dispositifs sont marginalisés et ces pratiques mises en accusation par le ministre.
F.- R. Guillaume
La série documentaire est regulierement présentée par l’un de ses auteurs sur la base d’une etude OCDE de 2003 qui indiquerait que les jeunes francais sont les eleves les plus stresses du monde (precision etant faite, au dela des japonais).
http://ecolesdifferentes.free.fr/FR2ECOLESENFRANCE.htm
QUI POURRAIT ME TRANSMETTRE UN LIEN INTERNET DE L’OCDE ou l’on trouve CETTE information qui ouvrait le 1er episode de cette serie et que Christophe NICK repète systématiquement dans toutes ses interventions.
Chirstophe Nick parle a la radio des jeunes de moins de 30 ans qui sont a 25% au chomage.
Compte tenu que le chomage de 23% concerne les 15-24 ans qui sont en population active et donc ne concerne pas notamment ceux qui étudient. Compte tenu que sur les 7 millions des 15-24, seul 2 millions sont dans la population active ...... J’ai des doutes sur la lecture que Christophe Nick est en mesure de faire des etudes de l’ocde et du stress des élèves.
A commencer par un détail "les plus stressés " n’indique nullement le pourcentage d’èlèves concernés et le niveau du dit stress. Mais le rapport de l’OCDE doit surement donné cette information.
MERCI A CEUX QUI POURRONT INDIQUER UN LIEN INTERNET.
En l’etat je n’ai trouve qu’une enquete OCDE PISA 2003 qui portait sur les mathematiques des eleves de 15 ans .
La serie documentaire se deroule dans des ecoles (donc dans le primaire) .