Tout est beau dans le meilleur des mondes ....
tout cela depend de la bonne volonté des quelques enseignants impliqués ce que je salue ici
mais quand les dits enseignants ne sont plus là que se passe t il ? plus rien hélas
quant au PPRE trés beau dans les textes combien d’ établissements acceptent de le faire ?
trés trés peu ....
ce genre de constat me smeble de la propagande pour expliquer que
totu est merveilleux dans le monde education nationale francaise
pourtant la realité cest DHg supprimée classes fermée pas d’infirmière pas de medecin
pas de surveillants ou trop peu de tout cela
1. La double condition du projet et des besoins des élèves est erronée. Pour qu’un projet existe, il faut que les acteurs de terrains soient actifs et stables. Lorsque ce n’est pas le cas, et que tout le "territoire" est à l’abandon des politiques publiques efficaces, il ne sera pas classé prioritaire ? Les "besoins" des élèves dans tous les quartiers exigent qu’on fasse encore mieux : on ne peut pas déterminer les ZEP avec de tels indicateurs.
2. Les meilleures pratiques pédagogiques sont le fait d’enseignants stables et formés. Il faut en effet se donner les moyens de stabiliser les équipes et de les former. Il y a donc lieu d’abord dans les zones déficitaires de trouver les enseignants localement et de former des jeunes locaux aux métiers de l’enseignement. Plutôt que d’ envoyer seulement quelques élèves des ZEP à Sciences Po, on devrait en plus en envoyer davantage dans les IUFM en financant leurs études pour rester dix ans sur place, comme à l’époque des IPES. Le bizutage des néo titulaires dans les académies de Créteil, Versailles et du Nord doit cesser par un ambitieuse politique de pré-recrutement des élèves des ZEP. Un bourse pour le lycée, un poste d’assistant d’enseignement bien rémunéré pour payer les études jusqu’à la licence, et nos départements déficitaires trouveraient localement les enseignants stables dont ils ont besoin.
3. Les moyens budgétaires ne doivent pas être dispersés ailleurs qu’au service des élèves. Or tout ce qui est stable aujourd’hui ce sont les moyens mis au service des enseignants (primes d’installation, primes ZEP, hors classe pour les professeurs référents, diminution des effectifs) car la surveillance syndicale des acquis a permis cete stabilité. Il est logique que les personnels continuent de demander ce qui est stable et se méfient de ce qui ne l’est pas... Les "projets", les "bonnes pratiques", les "contrats", tout cela se promène, change de pilotage, de moyens, de budget, de support,... ad libitum...
4. Le pilotage doit se faire par des acteurs capables de définir des objectifs réalistes au regard des moyens qui leur seront donnés ou capables d’apporter des moyens réalistes au regard des objectifs qu’ls affichent : le nombre de "projets" et de "contrats" n’affichant rien moins que la "réussite" de tous les élèves à l’aide de trois kopeks et de deux rencontres informelles avec un "pilote" rendent le dispositif parfois ridicule. Le diagnostic doit être fait avec le terrain sur la base d’indicateurs qui permettent d’aborder la complexité des difficultés et non pas seulement par des indicateurs nationaux dans lesquels les quartiers n’entrent pas nécessairement. Les moyens doivent répondre aux enjeux du diagnostic et construire les dispositifs d’évaluations adaptés.
5. La baisse des effectifs des classes doit prioritairement concerner le premier degré et en priorité les maternelles afin de favoriser les interactions langagières. Les enfants doivent être accueilllis dès deux ans à l’école dans des classes à 15, avec une atsem. Car dans les quartiers les plus en difficulté, l’apprentissage de la langue scolaire doit être faite à l’école. La baisse des effectifs des établissements doit être prioritaire, avant d’effectuer la baisse des classes. Aucune maternelle ne devrait avoir plus de 100 élèves, aucune élémentaire plus de 200, aucun collège plus de 300 en ZEP. En primaire, il faut 6 maîtres pour 5 classes et laisser à l’école le soin d’organiser le temps des enseignants surnuméraires Mais les petites classes, jusqu’au CM1, devraient avoir moins de 18 élèves afin de permettre le maximum d’interactions langagières en classe. En cycle 3 et en collège, il faut pouvoir moduler avec des enseignants supplémentaires des temps de cours, des temps d’atelier, des temps de tutorat, des temps d’exercisation avec des effectifs variables. Le temps de travail des enseignants doit pouvoir comprendre différents temps d’enseignement (avec temps de préparation compris), de concertation, de tutorat et de suivi, de formation, sans augmentation de la charge de travail. Le nombre de postes de remplaçants pour les congés, pour les stages de formation doit être augmenté pour éviter au maximum que les élèves perdent des heures d’enseignement et surchargent par répartition les autres classes. .
6. Les territoires de l’éducation prioritaire sont justement les territoires où la puissance publique (de l’Etat et des collectivités locales) peut avoir défailli. Il faut donc rechercher les partenariats, mais l’Etat doit avoir mission de s’y substituer lorsqu’ils n’existent pas. Il est inconcevable que pour faire un projet culturel, une école doive avoir des fonds coopératifs ou de la mairie pour pouvoir obtenir des fonds de l’Etat. Il est scandaleux que les classes transplantées (indispensables dans les quartiers où les enfants doivent apprendre à connaître la France) ne disposent d’aucun financement de l’Etat et repose sur les ressources des parents et le bénévolat des enseignants.
7. Les parents doivent pouvoir être écoutés, accueillis, conseillés et accompagnés. Ils ne doivent ni être stigmatisés, ni servir de potiches dans des réunions incompréhensibles. Les enseignants doivent pouvoir compter dans leur temps de service le temps obligatoire de rencontre et de bilan avec les parents. Des formations actives à ce travail doivent être mises en oeuvre et des personnels (assistantes sociales, CPE, co-psy) doivent être disponibles aussi pour les recevoir et échanger avec eux. Là où c’est nécessaire, les parents doivent pouvoir trouver dans l’établissement ou le quartier des cours d’alphabétisation et des cours de promotion sociale en lien avec la VAE pour les inciter personnellement à une démarche de progrès, encourageante pour leurs enfants.
8. Les SUPE sont une bonne idée, à condition qu’un diagnostic clair puisse être mis en oeuvre, à l’aide de chercheurs en éducation, de sociologues, et de responsables politiques et de terrain et des enseignants . A partir de ce diagnostic, il faudra mettre en oeuvre les moyens nécessaires éventuellement exceptionnelement importants et temporaires pour faire refonctionner le système au profit des élèves. Il faudra à tout prix éviter la mise en oeuvre d’idées aussi simplistes qu’immédiates, destinées à promouvoir leur inventeur au détriment des réalités locales.
9. Au contraire, lorsque tout cela fonctionne, c’est souvent que la ZEP n’a pas vraiment lieu d’être. C’est là où cela ne fonctionne pas qu’il faut être ZEP.... Par contre, chaque quartier doit recevoir les moyens nécessaires à son bon fonctionnement, ce qui constitue une revendication nationale qui n’a plus rien à voir avec les ZEP. La modulation des moyens ira toujours à ceux qui sont les plus combatifs et non à ceux pour qui elle serait nécessaire.
10. Il devient urgent de transformer les pratiques et d’en finir avec un collège où la "réussite" se mesure à l’adaptation à une propédeutique du lycée. L’école de la République doit faire progresser tous les élèves pour qu’ils soient des citoyens libres et égaux en droits. La formation professionnelle des enseignants ne peut se faire en un an alors que le bac pro menuiserie exige 4 ans de travail pour l’obtenir. Il y a lieu de repenser la formation initiale et continue. Car les ZEP ne doivent pas réinventer la roue chaque année et les pratiques différenciées, les pratiques modulées peuvent s’apprendre à l’IUFM. Les enseignants des ZEP devraient pouvoir bénéficier de temps de formation (remplacée) chaque année.
Il faudra un jour songer à récompenser les enseignants qui restent auprès des élèves et qui s’impliquent dans leur métier et non pas ceux qui partent (points de mutation) ou ceux qui ne sont plus devant élèves....(hors classe réservée aux pilotes, aux référents, aux postes particuliers....)
Notre REP va avoir un audit dans les jours à venir. Je voudrais savoir si d’autres REP sont concernés. L’équipe s’inquiète de l’après-audit !!! Une directrice d’école
Intéressant de lire cette étude...
D’autant plus que certains dispositifs valorisant les ENA (Elèves Nouvellement Arrivés) ont été supprimés dans l’indifférence générale. Un exemple ?
L’école élémentaire Espace Alpha, de Mulhouse, ouverte en 1991/1992, seule école "Education Nationale" spécialisée dans l’accueil et la première scolarisation des ENA de 6 à 16 ans, a été fermée sans tambours ni trompettes en juin 2005 - sans réaction aucune de la ville de Mulhouse, sans doute heureuse de récupérer des locaux ?
Inutile de dire qu’aucune évaluation du coût de cette structure n’a été réalisée... quant à l’évaluation de l’efficacité pédagogique, un audit de l’ENS Fontenay-St Cloud et des inspections élogieuses des enseignants y travaillant, montrent bien qu’il ne s’agissait pas de cela.
Mulhouse a donc adopté un dispositif "souple", où les jeunes sont parachutés dans des classes alors qu’ils sont complètement débutants en Français, suivis à 1/2 temps par un enseignant devant lui aussi se partager entre collège et école élémentaire (la flexibilité et la mobilité sont également à la mode en terme d’éducation)...
Pourtant, la grande majorité des anciens élèves d’Espace Alpha reconnaissait au contraire la qualité de l’accueil et de la prise en compte de leur spécificité : une école de ce type, travaillant de concert avec les collèges et les CIO pouvait "soigner" la procédure d’orientation et proposer un projet de scolarisation et d’orientation assez adapté au projet du jeune et à son profil.
Un contre-exemple désormais inexistant à cette étude... et une question de société pourtant fondamentale, touchant à ceux qui sont une part non négligeable - et souvent silencieuse - de notre société.
Bref... il serait intéressant que des chercheurs curieux (ou des journalistes en panne de sujet d’investigation) aillent en Alsace faire une petite étude sur l’avant et l’après.
sans être professeur de mathématiques ou de comptabilité, je m’interroge...
Diminuer le nombre d’élèves par classe demanderait plus d’enseignants... or, la tendance n’est pas à la création de postes... => comment faire ?
– soit en engager d’autres (peu probable)
– soit charger les classes des établissements qui n’auront pas le "privilège" d’être en ZEP
– soit faire diminuer le nombre total d’élèves... demain, je m’inscris à "Education Sans Frontières" !!!
Ou bien cette promesse ferait-elle partie du grand "package" démagogue promis aux enseignants pendant la campagne ?
Bonjour, pourquoi ne pas séparer les éléves SEGPA ?
soit ils se mélangent avec les autres éléves, soit ils seront dans un collége spécialisé, un petit collége aux Mureaux de 500 éléves SEGPA
Bonjour,
Je voudrais faire part de mon étonnement et de ma consternation à la lecture de votre message. L’OZP « dénonciateur de lampistes » ?
Dénonciateur, oui, cet observatoire a été créé pour dénoncer (pas seulement pour ça, mais aussi pour dénoncer les obstacles au bon fonctionnement des écoles et établissements de ZEP). La lettre au ministère dénonce en effet, comme d’autres lettres, audiences, communiqués de presse, assemblées et réunions ont dénoncé ce qui devait l’être. Peut-être l’OZP ne l’a-t-il pas fait assez d’ailleurs.
Dénonciateur de lampistes ? Là, il y a erreur de lecture : c’est justement l’inverse. Cette lettre dénonce trois responsables de ZEP ou RAR, ceux qui dirigent les « lampistes ». Ce dernier terme est très déplaisant pour des enseignants qui sont entièrement « responsables » au sens du cadre A de la Fonction publique, mais je reprends celui que vous avez utilisé.
Quand on voit des équipes d’enseignants responsables, prenant à bras le corps des problèmes posés dans leur ZEP ou leur RAR et qu’un IEN, un principal ou un IA non seulement néglige leur travail mais encore l’entrave, il y a lieu de le dénoncer. C’est ce qu’a fait cette lettre et je trouve que l’OZP a eu raison de le faire. Quand ce sont vos « lampistes » qui n’assurent pas, les critiques pleuvent de leur hiérarchie intermédiaire et des partenaires. Mais quand ce n’est plus un lampiste, alors, on s’écrase. On subit. On attend leur départ. « Que voulez-vous y faire, c’est lui (elle) qui commande ! » entend-t-on.
Eh bien l’OZP n’a pas eu cette attitude fataliste. Que faire ? Le choix qui a été fait me semble juste. Que la hiérarchie agisse. On se plaint tous des effets négatifs de la hiérarchie, eh bien qu’elle serve positivement ici !
Si M. Polivka s’adresse, comme l’OZP le souhaite, aux délégués académiques pour une évaluation des rouages de fonctionnement avec l’aide des inspections générales et que des obstacles repérés sont levés, chacun aura fait son travail. C’est ainsi que doit fonctionner un service public.
Il me faudrait répondre aussi sur les amalgames que vous faites avec des associations incitant à la délation. Cela m’inciterait à répliquer avec violence. Pourtant, j’imagine que vous êtes de bonne foi et que votre « trouble » est sincère. Je m’interroge alors sur son origine. Peut-être cela tient-il à ce l’OZP n’est pas exactement perçu dans sa nature même. En effet, ce n’est pas un « syndicat des enseignants de ZEP » et lorsqu’on s’adresse à lui en faisant cette confusion il est immédiatement répondu qu’il convient de s’adresser à une organisation professionnelle. L’OZP n’est pas, non plus, un organisme de formation, malgré le travail effectif mené dans ce domaine lors des « Rencontres » et des « Journées nationales ». Enfin, ce n’est pas un observatoire de nature scientifique ou universitaire. Le nom de l’association, de ce point de vue, peut inciter à la confusion.
L’OZP est une association libre, indépendante des syndicats et des partis, un lieu d’échanges et de réflexions sur les politiques territoriales de lutte contre les inégalités, en particulier dans l’Education nationale (article 2 des statuts). La ligne politique est définie par un CA élu par les adhérents et chacun est invité à rejoindre l’association. Tout est ouvert : venez travailler avec d’autres acteurs de l’éducation prioritaire. Votre message montre votre attachement à la réussite des élèves de ZEP : nous pouvons donc travailler ensemble. La variété de points de vue est la richesse de cette association et la conviction de ses membres l’origine de son énergie.
Décidément, nous avons les uns et les autres bien des progrès à faire pour ne pas créer de malentendus inutiles et nocifs.
L’OZP a sans doute des progrès à faire pour que ses prises de position ne soit pas comprises à contre sens par des personnes comme Marianne, choquée, en a certainement au moins autant à faire : où a-t-elle vu qu’un IA adjoint, un IEN, un principal de collège soient des lampistes ? Faut-il reconnaître à cette hiérarchie le droit de saboter l’éducation prioritaire ? Faut-il confondre les fonctions de cette hiérarchie avec la liberté pédagogique des enseignants ?
Cette lettre est un appel au délégué national à l’éducation prioritaire pour qu’il fasse son travail. Si plusieurs cas ont été signalés simultanément, c’est que nous pouvons craindre qu’une fois de plus l’éducation prioritaire soit laissée à l’abandon et que le sabotage reprenne. Cette lettre n’est pas une dénonciation pour faire tomber des têtes :notre protestation évite justement toute précision qui permettrait de reconnaître des personnes.
Puisque Marianne fait des suppositions pour leur trouver des excuses, donnons quelques précisions supplémentaires, elle pourra se rassurer en voyant qu’il ne s’agit pas « d’encourager le ministère futur à imposer à ses personnels l’obéissance le petit doigt sur la couture du pantalon », au contraire.
Dans un cas, il s’agit d’un principal de collège qui interdit tout travail en commun avec les écoles du réseau « Ambition Réussite » dont il est responsable, ensuite le cas symétrique d’une IEN, opposée au principe de l’éducation prioritaire, qui interdit tout travail en commun avec le collège, le troisième cas d’un IA adjoint qui se fiche complètement de l’éducation prioritaire et qui ne prend aucune des décisions qui s’impose.
François-Régis GUILLAUME
Vous dites l’intégrale ???
Et les 17 par classe ???
bonjour,
Je voudrais faire part de mon étonnement et de ma consternation à la lecture de la lettre adressée par l’OZP à M Polivka "au sujet de blocages dans certains RAR". Qu’il y ait des dysfonctionnements dans certains d’entre eux, c’est un constat que tout le monde peut faire, et que ces dysfonctionnement puissent parfois tenir à des problèmes de personne, c’est bien possible - encore que les dysfonctionnements lourds constatés dans les RAR, et plus généralement dans une Education Prioritaire aujourd’hui en sursis tiennent sans doute à des problèmes bien plus fondamentaux que le comportement de tel ou tel rouage intermédiaire local....
Mais j’attends autre chose d’une association comme l’OZP, que des lettres de dénonciation visant des lampistes.
En terme de procédé, je trouve qu’il s’agit d’un dérapage troublant. Quand d’autres associations ont publié il y a quelques mois, dans la presse régionale, des pavés adressés aux parents d’élèves, les incitant à dénoncer à leur hiérarchie les enseignants de CP qui n’emploieraient pas "la bonne méthode" de lecture, traduisez : celle préconisée par le ministre, cela a sucité une protestation générale et une levée de bouclier justifiée à laquelle l’OZP s’est associée, et elle était dans son rôle. Notre système éducatif n’avancera pas avec des exécutants dociles de consignes hiérarchiques, surtout quant elles sont problématiques....
L’affaire de la directrice de l’école de la rue Rampal a montré encore récemment que les injonctions hiérarchiques, celles du Rectorat de Paris en l’occurrence, pouvaient poser des problèmes professionnels et déontologiques tels, que l’obéissance zélée ne pouvait aller de soi (euphémisme). Là encore, l’OZP a pris une position de principe, largement partagée dans le monde enseignant et au dela.
D’où l’étonnement ressenti à la lecture de la lettre à M Polivka, qui "jure" avec ces prises de position antérieures....
Soit les cas évoqués dans la lettre relèvent de la faute professionnelle, et il y a des procédures disciplinaires pour cela, que l’Administration est assez grande pour actionner toute seule sans que l’OZP demande publiquement à ce qu’on fasse tomber des têtes.
Soit il s’agit de manque de zèle dans l’application des ordres, plus ou moins pertinents, venus d’en haut, ou de divergences d’interprétation sur ce qu’il convient de faire dans un RAR donné, ou encore de frictions de personnes d’autant plus prévisibles que les Comités Exécutifs tels qu’ils sont conçus donnent nécessairement lieu à des problèmes de pouvoir...
Si on compte trancher par la hache et le billot, toutes les situations de ce type qui se présentent, y compris le cas des enseignants dont "on" jugerait qu’ ils n’appliquent pas dans leur classe avec assez de zèle les dernières marottes du dernier ministre, le bourreau va avoir du travail, et les dénonciateurs aussi.
A la veille d’échéances qui peuvent déboucher sur la liquidation pure et simple des ZEP, l’abandon de toute politique de restauration de la mixité sociale, la dispersion de toute une expérience pédagogique accumulée par les équipes de ZEP, l’OZP ne trouve apparemment rien de plus urgent que de commettre une lettre pareille, pour encourager le ministère futur, quel qu’il soit, à imposer à ses personnels l’obéissance le petit doigt sur la couture du pantalon..... Si c’est la "ligne" adoptée pour les 5 ans à venir, l’avantage c’est que ça nous met tout de suite dans l’ambiance...
Marianne, choquée
Comme quoi la ZEP devenue REP devenu RAR Montreynaud (Saint-Etienne - 42) a su former avec efficacité ses détachés du contingent politique de la ville à l’utilisation des TICS !
D. Joubert, coordonnateur ZEP / REP puis secrétaire RAR.
Bonjour,
Nous avons été un peu surpris du message signé "enseignant en EP1" (excusez-nous d’avoir été un peu longs à réagir).
En effet, aucun précédent message signé "Enseignant en EP1" n’a été déposé sur notre site (nous avons vérifié dans les archives des messages forum) ni filtré par le modérateur. Le filtrage est d’ailleurs exceptionnel et ne concerne pratiquement que des messages à caractère illégal ou commercial, ou bien n’ayant aucun rapport avec l’éducation prioritaire.
Il s’agit certainement ici d’une erreur de manipulation (oubli de la commande finale "Message définitif : envoyer au site") lors de la rédaction du premier message par "Enseignant en EP1".
Nous invitons donc cordialement "Enseignant en EP1" à déposer un nouveau message, le cas échéant avec son adresse mél.
Et merci à tous les correspondants de cette page !
L’OZP
Je suppose que le commentaire posté il y a quelques semaines a été filtré par les modérateurs OZP. Par contre, il pourrait être intéressant de l’avoir par mail pour que l’on puisse y répondre et aussi avoir un nom et une adresse mail de M l’enseignant en EP1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Super !
Pourquoi dans l’inscription à ce concours, on ne peut pas donner des points par exemple à
– grade ceinture noire judo + participation compétitions
– membre d’1 conseil d’administration d’1 association
– obtention d’1 cfem ou d’1 dem de musique
+............................................................. d’autre idées ............................................................................
Ce qui permettrait de ne pas avoir que des intellos burocrates et d’intégrer le monsieur tout le
monde de la société, en lui apportant des connaissances et en lui apprenant l’analyse et la critique.
Une ceinture noire ou un examen de musique validé, cest de longues années d’apprentissage, de
travail, de rigueur, de partage, de critique ... ce n’est pas ...rien !
Voilà mon point de vue
J’avais envoyé un commentaire il y a quelques semaines au sujet de ce site. Il n’avait rien d’insultant, rien de répréhensible, ni dans le fond ni dans la forme.
Juste un peu d’ironie.
Mais faire remarquer que ce véritable pénégyrique n’était le fait que des seuls référents et des membres de la direction, que la parole des enseignants en était absente, cela justifiait-il que les modérateurs aillent bien au-delà d’une juste modé&ration ?