Merci Alain pour ce beau travail qui permet aux jeunes de comprendre que la politique de petits pas est plus constructive et durable. Je garde un excellent souvenir des moments partagés pour cette noble cause que sont les ZEP.Je t’embrasse.
Une école en REP+. Petite chronique de faits graves, parfois dramatiques, mais il y a de la vie et de l’humour. C’est court, facile à lire, on en a pour son argent (10 euros). Merci, collègue, d’avoir écrit ce petit livre (sauf la dernière page).
Nous voudrions vous faire part d’un retour d’expérience concernant la scolarisation des enfants de moins des 3 ans.
Depuis 2013, à Marseille, l’Ecole des Parents et des Educateurs des Bouches-du-Rhône (EPE13) a développé, depuis 2013, en collaboration avec l’Education Nationale et la Caisse d’Allocations Familiales des Bouches-du-Rhône (CAF13), un dispositif d’accompagnement des enseignants et des parents pour la scolarisation des enfants de moins de 3 ans dans plusieurs écoles maternelles de Marseille.
Vous pouvez retrouvez l’article sur ce projet paru dans le numéro janvier/février/mars 2016 de l’Ecole des Parents : http://www.epe13.com/actualite/29/a-l-ecole-des-2-ans-et-si-on-vous-accompagnait
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Bonjour,
Permettez-moi de penser que ce classement est plus que douteux. Le publier ainsi sans regard critique est tout simplement scandaleux. Ainsi, des quartiers de Montbéliard ou Chambéry (!) seraient devenus plus sensibles que les nombreux quartiers déshérités de Seine-Saint-Denis : Stains, Saint-Denis, Aubervilliers...
C’est aberrant de le penser, encore plus de l’écrire sur un site tel que le vôtre. N’importe quel enseignant ayant l’expérience à la fois de la Seine-Saint-Denis et des quartiers prioritaires de province peut en témoigner.
Cordialement,
Kweli
(enseignant et habitant de Seine-Saint-Denis)
A lire ce compte rendu, je me demande si F.Jarraud a bien assisté à la même rencontre que moi. Des acteurs de terrain échangent sur ce qu’ils entreprennent pour cette liaison entre écoles et collèges, sur les obstacles auxquels ils se heurtent, je comprends que ce n’est pas facile ; F.Jarraud écrit : « ça va pas être possible », alors même que les intervenants n’ont cessé de décrire ce qui a été possible.
Ces mêmes acteurs pointent comme difficulté principale : l’opposition des cultures professionnelles des enseignants du premier et du second degré dont les élèves font les frais. Mais en même temps, ils disent ce qu’ils ont déjà fait et comment les uns découvrent les avoirs faire des autres. Devant cette difficulté de fond, F. Jarraud botte en touche et renvoie le problème à « un système qui organise l’échec de l’interdegré ». Trop facile !
Certes les moyens attribués aux REP ne réparent pas dégâts causés par les destructions au cours des périodes précédentes : dans les écoles de tel réseau, une majorité de professeurs avec peu d’ancienneté, n’ayant reçu aucune formation, fréquemment en arrêt maladie, qui ne sont pas toujours remplacés ou par des contractuels sans formation eux aussi, parce que les emplois de remplacement ont été remplacés par des crédits. Mais pour que ces mauvais jours ne reviennent pas, il ne faut pas escamoter ce qui se dégage de cette rencontre : le sentiment fort que malgré tout, en éducation prioritaire, on travaille bien et que le métier évolue dans le bon sens !
Bonjour
Nous n’avons pas eu d’informations sur la diminution de cette décharge en REP.
D’autres collègues directeurs/directrices peuvent-ils en dire plus ?
Merci
Bonjour
On les appelle officiellement "professeurs supplémentaires"
Voir la rubrique spécialisée du site OZP :
Bonjour - je suis formateur académique REP+ - 2nd degré - académie de Lille et enseignant en SVT dans un collège REP+.
Je voudrais savoir ce que vous appelez "professeur référent éducation prioritaire".
Merci
Merci de vous intéresser à notre mission. Dans la dernière réforme nous n’apparaissions plus, je me demandais justement si nous étions encore beaucoup ? J’espère que cette donnée figurera dans votre résultat d’enquête avec les autres informations. Je réponds à votre enquête le plus tôt possible.
Bonjour,
Nous n’avons pas de professeur référent éducation prioritaire dans notre établissement.
Bonjour,
Étant directrice en école maternelle je n’ai pas d’élément direct à apporter sur cette enquête.
Je souhaiterais par contre savoir si un bilan est envisagé en ce qui concerne la diminution des taux de décharge de direction effectuée cette année dans les école REP. La qualité de notre travail s’en ressent et le signal envoyé est peu rassurant quant à l’avenir de l’éducation prioritaires.
Merci.
A vous, Madame, qui m’avez tant offert.
Vous avez été ma professeur de français alors que je n’était qu’un rebut promis à une survie utilitaire.Depuis Vous, la poésie c’est infiltrée dans mes veines. Depuis Vous, la Philosophie m’est devenue essentielle. Je désespère de vous revoir un jour pour pouvoir vous dire combien notre rencontre m’a donner la chance de renaitre ! Il n’est pas un livres que je lise sans me souvenir qu’un jour vous m’avez offert La Chevelure et un Fragment de Discourt Amoureux. Je vous suis fidèle par le partage de ces horizons humanistes. Mon message, ici, comme une bouteille à la mer, fera son chemin. Et s’il n’en reste qu’un silence je vous garderais en mon cœur et dans mon esprit même si le Temps me fait oublier votre nom. Mon respect et mon amitié.
Bonjour, je suis très étonné de ne voir qu’un seul quartier du 93 dans cette liste, et notamment aucun de St Denis. Peut-être faudrait-il regarder de plus près la stabilité des équipes enseignantes et la répartition des structures de soins ?
J ai habité a la cité 51 jusqu’à 1978 je l ai eu comme maître je n oublierais pas sa gentillesse et surtout les maître qui nous on aider à être ce que nous sommes ce que je peux dire j ai vécu dans une cité que je n oublierais jamais encore merci a tous ces maître qui venaient a la cité pour nous a prendre a lire et autre merci mille fois pour tous ce que vous avais fait pour cette cité oublié