En réponse à :
Extrait de « Libération » du 29.11.07 : Les quartiers ne voient rien venir
Au-delà de la fermeté attendue, le discours de Sarkozy néglige totalement la dimension sociale de la crise des banlieues en difficulté.
Tandis que Villiers-le-Bel restait en état de siège, Nicolas Sarkozy et François Fillon ont martelé, toute la journée d’hier, leurs trois messages en réponse à la crise : la République « rend hommage » à ses policiers, elle doit « la vérité » aux familles des deux adolescents tués (…)