En réponse à :
[...] Réagir face à un constat accablant
Ces annonces semblent enfin esquisser les prémices d’un rééquilibrage des moyens. Dès 2006, les travaux de l’Institut Montaigne mettaient en lumière un paradoxe : les écoles les mieux dotées financièrement ne sont pas là où l’on croit[1]. En effet, la Cour des comptes a calculé que l’État a dépensé, en 2012, 47 % de plus pour former un élève parisien qu’un élève des académies de Créteil ou de Versailles.
Une seule question doit se poser pour (…)