En réponse à :
[...] Par ailleurs « dans certains territoires, la population change.Certains établissements qui sont actuellement en zone d’éducation prioritaire ne devraient pas y être alors que d’autres si », affirme la sociologue de l’éducation, Marie Duru-Bellat. Ce qui impose, selon elle, de revoir périodiquement la carte de l’éducation prioritaire. « Il faut un découpage des zones plus finement élaboré car certains établissements voisins n’accueillent pas la même population », souligne aussi Cynthia (…)