En réponse à :
La sanction en éducation : du tabou à la réalité (Revue de Sèvres)
"Le discours souvent utilisé par ceux qui ont infligé des châtiments corporels s’appuie, pour justifier cet usage, sur le concept de ‘Ai no muchi‘ qui signifie littéralement "fouetter des personnes par amour", constate Hiroshi Nakada dans le dossier du nouveau numéro de la Revue internationale d’éducation de France Education Internationale (anciennement CIEP) consacré à "la sanction en éducation".
Eirick Prairat, (...)