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Guy Sorman, le temps de l’autocritique
L’essayiste, ancienne plume du « Figaro Magazine », fut parmi les défenseurs les plus zélés du néolibéralisme. Et dénonce aujourd’hui une « spirale de l’inégalité » dans une société déchirée par les « passions identitaires », dans une tribune au « Monde ».
(...) Son « autocritique » du libéralisme le conduit toutefois aujourd’hui à se définir aujourd’hui comme un « postlibéral », c’est-à-dire à « reconnaître l’efficacité de l’économie de marché et (...)