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[...] Concernant l’idée de “sortir du mythe d’une uniformité qui garantirait l’égalité”, le SNES s’avoue “un peu inquiet”, car “plus on laisse de l’autonomie aux établissements, plus les inégalités augmentent dans les établissements”, constate Valérie Sipahimalani. “Tout dépend donc de ce que l’on met derrière ces mots”, ajoute-t-elle.
Le SNES s’inquiète aussi de la promesse du candidat de “limiter à 12 élèves” les classes de CE1/CP, et des conséquences sur le secondaire : “cela (...)