En réponse à :
Où sont les quartiers dits « sensibles », ces « zones de non-droit », tant vantées dans les médias ? Nul ne sait. Et les chiffres qui circulent sont tous différents. Comme si la relégation d’une partie de la population n’était pas une chose sérieuse.
[...] Un accroc : il n’y a plus vraiment de définition claire de ce qu’est un « quartier sensible » : niveau de délinquance requis, victimes (riverains, fonctionnaires) prises en compte… Même au plus haut, on est conscient de cette faille. « (...)