En réponse à :
[...] la France a privilégié une approche territoriale (ZEP et ZUS) qui renvoie indirectement à des critères ethnoculturels, puisque les immigrés et les descendants d’immigrés constituent souvent la majorité dans ces zones.
Le surcroît de moyens donnés n’est pas alors associé à une couleur de peau ou à une origine culturelle, mais au fait de vivre dans des quartiers pauvres, dépourvus d’émulation sociale. Ainsi, on a évité les effets pervers des quotas définis sur des critères (...)