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« C’est très porteur pour nos élèves en grande fragilité sociale qui, dans la cité, ne peuvent pas toujours travailler correctement. Les expatrier, même à 5 km, est très bénéfique », complète Dominique Wrzesinski, la principale de cet établissement classé en réseau de réussite scolaire.
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Résultat : grâce aux subventions, les familles ne paient que 68 € la semaine. Les élèves, tous volontaires, de niveaux hétérogènes, sont répartis en petits groupes avec trois professeurs.
Extrait de leparisien.fr du 28.06.10 : Une semaine en pension pour préparer le brevet