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Dans les zones urbaines favorisées, la baisse de l’obésité et du surpoids est de 13% (de 18,64% en 2004 à 16,24% en 2009). Elle est de 2% (de 23,7% à 23,15%) dans les Zones d’éducation prioritaire, ce qui est considéré par les spécialistes comme une stabilisation.
Extrait de lefigaro.fr du 25.05.10 : Obésité infantile : des signaux positifs
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L’obésité diminue moins en Zep ...
Apprendre aux enfants et à leur famille à manger des fruits et des légumes , c’est bien. Mais vu les prix pratiqués sur le marché ou dans les magasins, il n’y a pas de quoi s’étonner que seuls les plus riches puissent se permettre de varier leur alimentation. Ne touche-t-on pas là les limites des actions éducatives ?