Voir à gauche les mots-clés liés à cet article
Le mécanisme risque d’être irréversible. (...)
Même si une frange importante du système scolaire est en train de dériver, la marche arrière est impossible et, de toute façon, pas envisagée par le ministre de l’éducation, Luc Chatel. La seule marge de progression serait que l’Etat joue son rôle de régulateur, en instaurant un correcteur national qui est notamment demandé par les chefs d’établissement.
Extrait de lemonde.fr du 07.05.10 : L’assouplissement de la carte scolaire a déstabilisé le paysage éducatif