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Alors, parents et instituteurs se sentent-ils prêts à faire machine arrière ? « Si on revient sur le samedi matin libéré, nous descendrons dans la rue », résume brutalement une enseignante. Qui ajoute : « En revanche, nous souhaitons nous aligner sur les dates normales de congés scolaires, afin que les nôtres ne soient plus amputés de plusieurs jours. »
Conclusion : deux avantages acquis valent mieux qu’un. Reste cette question cruciale : qui se soucie vraiment de l’intérêt de l’enfant ?
Extrait de lexpress.fr du 27.03.10 : Rennes et ses trois jeudis