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Prévention de l’obésité : selon une étude menée dans les ZEP de l’académie de Grenoble, les jeunes sont beaucoup plus sensibles à l’argument social (peur des moqueries) qu’à l’argument de santé.
Une autre étude met en avant l’origine des parents comme l’un des facteurs d’obésité

5 mars 2010

Additif Avril 2012 : Les campagnes contre l’obésité modifient-elles vraiment les comportements alimentaires ? Les adolescents en ZEP sont beaucoup plus sensibles aux risques sociaux (moqueries) qu’aux risques de santé (recherche)

Prévention de l’obésité : le message santé passe mal

Les adolescents craignent bien plus d’être exclus socialement s’ils sont obèses que d’avoir des problèmes de santé, selon une étude menée par des chercheurs de Grenoble

(...) L’étude dégage trois facteurs liés à l’obésité : le fait d’avoir deux parents originaires d’autres pays que la France métropolitaine et la Suisse, d’apporter une collation pour la récréation de l’après-midi et d’avoir un antécédent familial de surpoids.

Extrait de leprogres.fr du 04.03.10 : Prévention de l’obésité : le message santé passe mal

 

"Si tu es gros, tu n’auras pas d’amis". Pour schématiser, ce serait le genre de phrase choc qui permettrait le mieux de lutter contre l’obésité des jeunes.

Extrait de grenews.com du 10.05.10 : Su tu es gros, tu n’auras pas d’amis

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