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"La refonte de la carte ne doit pas conduire à l’abandon d’établissements confrontés à des difficultés un peu moins aigües mais nécessitant d’être soutenus pour préserver des équilibres", écrit le Snes.
"La CGT-Educ’action 13 appelle les personnels et les établissements à se réunir en assemblée générale, à se mobiliser, et à exiger dès maintenant la prise en compte de leurs difficultés par le maintien et l’amélioration de leurs moyens actuels", lance dès maintenant la CGT des Bouches du Rhône. Dans ce département les réseaux prioritaires passent de 76 à 62 à la rentrée 2015.
La question des sorties des dispositifs prioritaires est en train d’émerger sur le terrain. Il sera difficile de diminuer les moyens d’établissements qui se battent au quotidien pour la réussite d’élèves venus des quartiers populaires sous prétexte que c’est pire ailleurs. Les syndicats réformistes montent aussi au créneau.
"Il est également indispensable que les moyens des établissements sortants ne chutent pas brutalement. Les recteurs devront mettre en place des DGH différenciées en fonction des difficultés constatées. Quant aux personnels, ils doivent bénéficier de mesures transitoires", écrit le Se Unsa.
"En ce qui concerne les sorties, il est urgent qu’un groupe de travail ministériel se mette en place pour discuter de toutes les mesures de sauvegarde à mettre en œuvre pour l’ensemble des personnels qui quitteront à terme le dispositif de l’éducation prioritaire", demande le Sgen.
Extrait de [cafépedagogique.net du 01.10.14 : Education prioritaire : Sorties délicates
|...] Pour sa part, le SGEN-CFDT rappelle qu’il a déjà dénoncé "l’opacité dans laquelle les choix académiques" avaient été faits précédemment et s’inquiète donc de la seconde phase d’établissement de la carte des REP : "le chantier dans les académies qui doit être mené avant janvier ne doit pas être instrumentalisé dans le cadre de la campagne pour les élections professionnelles" et il doit être mené "dans le cadre de groupes de travail issus des CTA (les comités techniques académiques) de manière transparente".
Le SGEN demande aussi la mise en place d’un groupe de travail ministériel "pour discuter de toutes les mesures de sauvegarde à mettre en œuvre pour l’ensemble des personnels qui quitteront à terme le dispositif de l’éducation prioritaire".
Extrait de touteduc.fr du 30.09.14 : REP : le compte n’y est pas pour le SNES, le SGEN inquiet de la seconde phase. Socle : le SNALC demande des programmes annuels