Voir à gauche les mots-clés liés à cet article
Le ministre Benoît Hamon fait front devant les difficultés inhérentes au ministère de l’Education nationale ; "Je m’y attendais", assure-t-il à L’Express.fr.
[...]
Les heures sup financées
Rare sujet de contentement : les arbitrages budgétaires. Le ministre assure qu’"il ne serait pas là s’il n’avait pas obtenu de bons arbitrages". Hamon, qui met volontiers en avant le soutien du Premier ministre, assure avoir obtenu le maintien du volume d’heures supplémentaires pour les enseignants, le financement des "super ZEP", et le maintien des recrutements supplémentaires (10 à 12 000 par an sur l’ensemble de la mandature). "Les engagements seront tenus", assure-t-il.
Extrait de llexpress.fr du 04.07.14 : Hamon : "Difficile l’Education nationale ? Je m’y attendais"
Le gouvernement présentait hier, lors d’un débat à l’Assemblée, les grandes lignes du budget triennal 2015–2017, et en particulier les restrictions prévues pour respecter les 18 milliards d’euros d’économie du pacte de responsabilité. Et les arbitrages ont été favorables au ministère de Benoit Hamon, puisque le document préalable au débat annonce une augmentation de ses crédits d’ici 2017, ainsi que la poursuite des créations de postes.
Dans le détail, les crédits du ministère passeront de 68 003 en 2014 à 69 157 en 2015, puis 69 393 en 2016, et enfin 69 756 en 2017.
29 644 créations de postes sont en outre programmées dans l’Education nationale d’ici 2017, annonce le document. 9 421 le seront en 2015. 2 150 emplois d’assistants d’éducation seront aussi créés dans le cadre de la réforme de l’éducation prioritaire
Extrait de vousnousils.fr du 10.07.14 : Budget triennal : l’éducation épargnée par les restrictions