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Même son de cloche de l’autre côté de la ville, au collège Claude-Boucher, classé en Zone prioritaire d’éducation [en RRS à Cognac, ndlr] . « Je pense vraiment que mes élèves ont besoin de règles strictes mais aussi besoin que celles-ci soient bien expliquées. Il faut absolument qu’ils comprennent pourquoi ils sont sanctionnés car ils sont très sensibles à la justice », analyse le principal Philippe Robin.
Si les violences ont toujours existé dans les collèges, et que celles-ci existeront toujours, le personnel surveillant de l’Éducation nationale observe unanimement une évolution de ces formes d’agressivité.
Extrait de sudouest.fr : Besoins derègles comprises
Note du QdZ : Ces situations de violence n’affectent pas que les ZEP. Le collège de Florensac, dans l’Hérault, où une élève de 4e est décédée des suites de coups portés par un autre adolescent, n’était pas en éducation prioritaire.
Sur la perception par les parents du rôle des assistants d’éducation dans la prévention de la violence, voir aussi les nombreux articles de la presse régionale sur les protestations contre des suppressions de postes au collège Brassens à Narbonne.
Après le drame survenu dans l’Hérault, rencontre avec des acteurs de terrain qui constatent de nouveaux phénomènes de violence, notamment via les réseaux sociaux.
En poste depuis 5 ans à Vivant-Denon (St Marcel, Saône-et-Loire), Francis Benoit assure : « Celui qui vous dit qu’il n’y a pas de violence dans son établissement est un menteur ». Mais Francis Benoit a l’expérience pour juger des degrés de cette violence : « Avant Saint-Marcel, j’ai passé 7 ans dans un collège de Zone d’éducation prioritaire. En comparaison, ici, on peut dire que c’est calme ».
Extrait de lejsl.fr du 23.06.11 : Dans les collèges, la violence change de visage