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En Seine-Saint-Denis notamment, les communes apprennent les unes après les autres qu’elles devront mettre la main à la poche si elles veulent garder le même volume d’heures d’accompagnement éducatif. A Clichy-sous-Bois, des élèves pourraient même s’en retrouver privés en cours d’année. Depuis deux ans, les douze écoles élémentaires de la ville proposaient cet accompagnement, de 16 h 30 à 18 h 30. Mais, à la rentrée, la mairie a appris qu’à partir de janvier l’Etat ne financerait plus que (...)