En réponse à :
La chronique de Véronique Soulé : Les pauvres toujours oubliés de l’école ?
Les riches, ça va bien ! On va parler des pauvres, des enfants qui arrivent à l’école avec un déficit de mots, qui ne peuvent pas être aidés chez eux et qui n’ont pas d’endroit pour travailler, qui se retrouvent perdus en fin de primaire et qui n’auront pas la chance d’intégrer l’un de ces « internats d’excellence » chers au ministre Jean-Michel Blanquer parce qu’ils ne sont pas assez prometteurs ou méritants. (...)