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Extrait du rapport
7.2.1. POLE N°1 : RECHERCHE ET FORMATION INITIALE
Le pôle n°1 est celui de la recherche et de la formation initiale, qui pourrait
s’appeler « observatoire des pratiques éducatives ». Il regroupera le Centre
Alain-Savary et les unités insérées dans des UMR en partenariat avec le
CNRS ou avec des établissements d’enseignement supérieur (STEF, ECP34,
S2HEP, ICAR, ADEF).
Le pôle aura pour fonction de faire circuler les personnes et les idées entre équipes. Cette circulation sera sous-tendue par le partage d’intérêts dans les
différents programmes énoncés supra. Elle sera mise en évidence par des
séminaires communs bimensuels. Les activités de back office seront mutualisées (secrétariat, gestion des budgets, informatique). En outre, le pôle aura vocation à soutenir les différentes initiatives que les équipes se proposent de développer au cours du prochain quinquennal.
Le pôle aura également en charge la formation initiale, représentée par les masters « MISA » (Métiers internationaux du Savoir), « Architecture de l’information » et « Formation des formateurs ». Ces masters co-habilités (respectivement avec le CIEP, Lyon 1 et Lyon 2) permettront de renforcer les collaborations avec des partenaires importants tantôt au sein du champ de l’éducation, tantôt au sein du PRES de Lyon. Ces trois formations sont typiquement des formations par la recherche et précisément par la recherche « translationnelle » qui caractérise l’IFE. En effet, c’est dans un aller-retour entre la réflexion théorique et le travail de terrain que les enseignements seront conduits et que le mémoire de fin d’étude sera réalisé.
Selon, le rapport Winkin, que le Café s’est procuré, l’INRP deviendrait "l’Institut Français de l’Éducation" (IFE) intégré dans l’Ecole Normale Supérieure de Lyon. Réorganisé mais dépendant, l’IFE aura-t-il vraiment les moyens de ses ambitions ? L’avenir de certains personnels reste incertain. [...]
Extrait de cafepedagogique.net du 22.11.10 : Le rapport Winkin décrit l’avenir de l’INRP
Insertion de l’INRP dans l’Ecole Normale Supérieure : « que du bonheur ! »