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Au collège Olivier-de-Serres de Viry-Châtillon (Essonne), le dispositif se met en place petit à petit. [...] on dispose d’instruments très souples, qui s’articulent autour du socle commun de compétences. »
[...] « Pour un chef d’établissement, il est intéressant d’avoir affaire à une personne que l’on a validée, reconnaît Laurent Jacquet. Et c’est aussi plus sécurisant pour la personne. »
C’est le point le plus sensible du programme Clair : un régime dérogatoire qui exclut les postes à pourvoir du sacro-saint « mouvement » où ne jouent que les points accumulés par les enseignants à l’ancienneté. Et même si le nombre de postes concernés cette année était extrêmement faible, de l’ordre d’un ou deux par établissement, le bouleversement est majeur, puisqu’il consacre l’autonomie croissante des collèges et lycées, sous l’égide d’un chef d’établissement aux pouvoirs pédagogiques et managériaux.
Extrait de lefigaro.fr du 20.09.10 : Quand collèges et lycées choisissent leurs professeurs