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Une contribution à l’un des groupes de travail du PS sur le « projet » traite de l’éducation prioritaire.

26 avril 2010

I. Etat des lieux

Les divers dispositifs d’éducation prioritaire n’ont pas atteint leurs objectifs, en raison notamment de la faiblesse des moyens alloués : les ZEP, par exemple, n’ont pas permis de faire baisser le nombre d’élèves par classe de manière significative (de 27 à 25 seulement).

Le constat est le suivant : la majeure partie de ces enfants et adolescents connaît de gros problèmes familiaux (éclatement de la cellule familiale, explosion des familles monoparentales) qui se superposent à des difficultés d’ordre social, économique, culturel. Le cumul de ces difficultés induit un manque de repères chez ces jeunes rendant de ce fait l’apprentissage particulièrement problématique.

La gauche doit aujourd’hui prendre en compte les difficultés et les espérances des catégories sociales les plus démunies et donner un avenir à sa jeunesse issue de milieux défavorisés.

(Contribution rédigée par Pierre Philippon et Cyrille Villa)

Extrait du site Répondre à gauche Donner plus à ceux qui ont moins

 

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2 Messages de forum

  • Ce texte est bien faible, décevant et, pour quelques points, choquant : espérons qu’il ne présage pas ce qui sera écrit dans le « projet 2012 » du PS.

    Heureusement, ce n’est qu’une contribution à l’un des nombreux groupes de travail préparatoires. Mais je comprends que le Quotidien des ZEP le publie puisqu’on ne sait rien de ce qui se prépare.

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    • Il faudrait expliquer aux têtes pensantes du PS qu’il ne s’agit pas de « donner le plus à ceux qui ont le moins » comme l’indique ce titre :

       « le don » est une belle vertu morale alors que pour l’éducation prioritaire il s’agit de droit à l’éducation.

       « ceux qui ont le moins » est une vision dépréciative d’une catégorie, alors que, justement, pour l’éducation prioritaire, il s’agit de considérer tous les élèves comme susceptibles d’apprendre, qui ont donc autant que les autres.

      Ce fameux projet en préparation pourrait utilement choisir les moyens d’assurer ce droit à l’éducation à ceux qui, pour le moment, n’y accèdent pas suffisamment et sans que, comme ici, on en rejette la responsabilité sur les parents.

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