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Extrait de le monde.fr du 12.01.09 : M. Sarkozy espère renouer avec les enseignants et les jeunes
(...) Aujourd’hui, l’école est en partenariat avec 65 lycées et a accueilli près de 500 élèves dans ce cadre. Par ailleurs, Sciences-Po coordonne, depuis la rentrée 2006, des classes expérimentales, impliquant 250 enseignants et 2 500 élèves dans sept lycées, dont cinq en banlieue parisienne.
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Extrait de en3mot.com du 12.01.09 : L’avis de l’UNL [Union Nationale Lycéenne]
Antoine Evennou, Secrétaire Général de l’UNL : (...)le fait qu’il soit directeur de Sciences Po Paris est symbolique de la politique méritocratique menée par M. Sarkozy. Un tel symbole ne fera que creuser l’écart entre les lycéens pouvant intégrer cette prestigieuse école et les autres.
E3M : Le directeur de Sciences Po a mis en place une politique de discrimination positive en faveur des ZEP....
A E : Certes mais la discrimination positive ne devrait même pas exister. Pour Sciences Po, il s’agit juste d’une stratégie de communication qui, par ailleurs, permet à l’école d’avoir son quota « d’élèves ZEP ».
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Extrait de le jdd.fr du 12.01.09 : Descoings, calculateur ambitieux
Tout juste nommé à la tête d’une commission sur la réforme du lycée, Richard Descoings est devenu en vingt ans une éminence grise incontournable en matière d’éducation. Conseiller d’Etat qui travaille pour les gouvernements de gauche comme de droite, ce professeur de droit public s’est fait connaître en réformant Science-Po. Une institution qui lui a servi de tremplin vers la politique.