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Parmi les priorités des "déchiffreurs de l’éducation" : l’assouplissement de la carte scolaire et la mixité sociale et scolaire (dans le cadre de PISA)...
La liste des rapports de l’Inspection générale en attente

15 mai 2012

ADDITIF : L’Expresso du 22.05.12 : Peillon veut-il vraiment publier les rapports cachés ?

 

Rassemblés depuis quelques mois dans un collectif de personnes, de syndicats et d’associations (dont le Café pédagogique), les déchiffreurs de l’éducation veulent garantir l’existence d’évaluations et de statistiques fiables et publiques sur le système éducatif.

La réunion du 10 mai avait pour objet d’énoncer quelques principes à l’attention du futur ministre de l’éducation et de ses services, y compris pour l’enseignement supérieur.

Dans le programme de travail, ou de diffusion lorsque les études ont déjà été réalisées, devraient figurer en bonne place des informations sur les conséquences de la réforme du bac pro et celles de l’assouplissement de la carte scolaire. Enfin les conclusions de Pisa amèneront certainement à mettre en place un dispositif d’évaluation de la mixité scolaire et sociale et à proposer des solutions pour le nombre croissant d’élèves en difficultés.

Sur le blog, l’article du 11 mai intitulé « Parlons du changement » précise les conditions à réunir pour que les services statistiques du ministère puissent remplir correctement leur rôle de producteurs d’informations, informations qui doivent tout naturellement être mises à disposition des chercheurs.

Extrait de cafepedagogique.net du 14.05.12 : Les "Déchiffreurs de l’éducation" veulent libérer les statistiques

 

Le blog des déchiffreurs

 

Côté Education nationale, beaucoup de statistiques sortent mais soigneusement mises en sauce. Surtout, le ministère a coupé le sifflet à la centaine d’inspecteurs généraux qui, sur le terrain, auscultent l’école. « En 2008, j’ai reçu une note expliquant que nos rapports, jusque-là rendus publics, s’appelleraient désormais des « notes confidentielles », à transmettre au ministre, et n’auraient plus vocation à être publiés », raconte un inspecteur général à la retraite.
De fait, le robinet s’est tari. D’une vingtaine de rapports publiés par an, on est tombé à presque zéro. On n’a ainsi jamais pu lire celui qui dressait un premier bilan de l’assouplissement de la carte scolaire. Manquent encore à l’appel, rien que pour l’année 2011, les rapports sur l’aide aux élèves, la maternelle, les internats d’excellence, les réseaux de l’éducation prioritaire.

Extrait de nouvelsobs.com du 15.02.12 : Statistiques sur l’école : la fin de la censure ?

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