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Revalorisation des enseignants : Luc Chatel confirme sous le nom de "prime de performance" la part modulable de l"’indemnité spécifique" pour les personnels exerçant en Eclair prévue par les textes parus au JO du 13.09.11

25 novembre 2011

Communiqué de presse - Luc Chatel - 24/11/2011

À l’occasion du salon européen de l’éducation, Luc Chatel, ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative a présenté, jeudi 24 novembre 2011, les mesures de revalorisation des personnels enseignants et non enseignants pour l’année 2012. Celles-ci relèvent de l’ensemble des dispositions du nouveau pacte de carrière lancé par le ministre dès 2009.

[...]
Les différentes revalorisations indemnitaires concernent une large partie des personnels enseignants et non enseignants.
À titre d’exemples, la part variable de l’indemnité de directeurs d’école est revalorisée de 50% et la prime de performance des enseignants exerçant dans les établissements ECLAIR (2 100 écoles et 325 établissements scolaires du réseau "Ecoles, collèges et lycées pour l’ambition, l’innovation et la réussite") est instituée avec un plafond de 2 400€ par an (qui s’ajoute à la part fixe de 1100 €). Les personnels participant à la santé scolaire ainsi que les personnels ATOSS employés par l’État font également l’objet de mesures de revalorisation importantes.

Extrait de education.gouvf.fr du 24.11.11 : Inauguration du salon européen de l’éducation : Luc Chatel garantit à tout jeune enseignant un salaire de 2000 € bruts

 

Note du QdZ : : L’institution de cette "prime" avait déjà été officialisée au Journal Officiel du 13.09.11 qui en avait fixé le montant et les modalités d’attribution.

Relevons :
 que le terme de "prime de performance" utilisé par le ministre pour désigner la part modulable de l"’indemnité spécifique" illustre bien la volonté d’expérimenter un paiement au mérite ;
 que la part modulable est deux fois plus importante que la part fixe ;
 que l’attribution de cette part modulable relève d’une proposition de l’IEN pour le premier degré et de celle du chef d’établissement pour le second degré ;
 que cette indemnité spécifique n’est cumulable ni avec l"’indemnité de sujétion spéciale" en faveur des personnels exerçant en zone d’éducation prioritaire ni avec la "nouvelle bonification indiciaire" (NBI) attribuée au titre de la mise en oeuvre de la politique de la ville.

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